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Plante-araignée: origine, variétés et conseils de culture

Photo par David J. Stang

Grand classique des plantes de bureau, cette bonne vieille plante-araignée a été la première plante d’intérieur de plusieurs. Elle mérite entièrement cet honneur: très facile d’entretien, supportant tous les sévices et se multipliant rapidement, on ne se trompe presque jamais avec Chlorophytum comosum.

Origine

Qu’on l’appelle plante-araignée, phalangère ou encore chlorophytum chevelu (que je n’ai, personnellement, jamais entendu, mais il y a possiblement quelqu’un quelque part qui l’appelle comme ça), cette plante d’intérieur est originaire d’Afrique du Sud. Elle appartient à la famille des Asparagacées, dont on cultive aussi les dracénas (incluant maintenant les sansevières) et les asperges d’intérieur. Le genre Chlorophytum, pour sa part, contient environ 200 espèces, mais nous parlerons dans la rubrique d’aujourd’hui de quatre seulement – et majoritairement de C. comosum.

En anglais, on l’appelle Spider plant, mais également Airplane plant, Ribbon plant, Spider Ivy et Hens and chicks, nom qu’on emploie d’ailleurs pour désigner plus souvent la joubarbe (Sempervivum), une petite succulente extérieure qui se reproduit en faisant des petites rosettes latérales (les «poussins»). Devant tant de possibilités, nous nous en tiendrons quand même à «plante-araignée» dans la présente rubrique, nom suffisamment évocateur en lui-même.

Il est intéressant de noter que la plante-araignée n’a pas été nommée ainsi à cause de sa forme. Voici pour plus d’informations sur l’origine de ce nom. Photo par Digigalos.

Description

Chlorophytum comosum mesure environ 60 cm de haut à l’âge adulte. Ses longues feuilles pointues, le plus souvent bicolores pour la culture ornementale, sont ensiformes (en formes d’épées) et s’organisent autour d’une touffe centrale. Lorsqu’elle vieillit, la plante mature tend d’ailleurs à se diviser naturellement et à créer des feuilles à partir de plusieurs tiges de croissance qui se fondent les unes aux autres.

Cette plante herbacée, c’est-à-dire qu’elle ne produit jamais d’écorce, révèle avec beaucoup de temps un tronc «tendre», qui porte les cicatrices des anciennes feuilles. Cela étant dit, la plupart des sujets ressembleront toute leur vie à une touffe, dont les feuilles semblent émerger du sol.

Le système racinaire de la plante est particulièrement imposant. La plante crée en effet beaucoup de racines longues, dont certaines sont tubéreuses et blanches, ressemblant un peu à une patate allongée. Les plus petites racines paraissent couvertes de poils (les racinelles) et servent à nourrir la plante, en absorbant l’eau et les minéraux du terreau. De leur côté, les tubercules servent de réserve d’eau à la plante, pour lutter contre la sécheresse. Enfin, les longues racines ont un autre rôle dans la nature: servir à bien ancrer la plante, pour éviter qu’elle ne s’envole à la moindre bourrasque. Évidemment, de telles racines sont moins nécessaires à l’intérieur.

Photo par Wildfeuer.

Reproduction et fleurs

La plante-araignée est particulièrement connue pour sa reproduction asexuée: tout comme les fraises et les saxifrages, les plantes-araignées produisent facilement de longs stolons droits, puis arqués, sur lesquels s’alignent d’abord les fleurs et ensuite les marcottes.

Les fleurs sont blanches, en forme d’étoile à six branches, relativement jolies en tant que telles, mais globalement insignifiantes: elles poussent éloignées les unes des autres, ne vivent pas très longtemps et se succèdent sur une période de quelques semaines. À leur mort, elles font place aux petites plantules, qui poussent rapidement et prennent la forme de chlorophytums miniatures. Éventuellement, elles commencent même à faire de petites tiges gonflées à leur base: les futures racines.

Photo par Wildfeuer.

Avec l’âge, les plantules qui restent attachées à la plante mère peuvent éventuellement produire des stolons à leur tour, pour créer une véritable cascade de feuillage. 

C. comosum produit également des capsules de graines noires, qui sont viables même si elles ne donnent pas nécessairement des plantes fidèles au type (ce qui signifie que la plante mère au feuillage bicolore produira sans doute un semis entièrement vert).

Variétés

Il existe quelques cultivars de C. comosum qu’on retrouve fréquemment sur le commerce et quelques autres espèces de chlorophytum qu’on peut cultiver dans nos maisons.

La version «naturelle», entièrement verte, est relativement rare, au profit de versions bicolores panachées jugées plus attrayantes. Lorsque la bande blanche se retrouve en marge de la feuille, on parle de C. comosum ‘Variegatum’ (dont les stolons sont verts). Lorsque le centre de la feuille est panaché de couleur crème, il s’agit de ‘Vittatum’ (et le stolon est également blanc crème).

À gauche, ‘Variegatum’ par David J. Stang; à droite, ‘Vittatum’ par Dtarazona.

Certaines plantes-araignées ont les feuilles curieusement «bouclées», ce qui leur donne une forme originale.

Le cultivar bouclé de ‘Vittatum’ se nomme ‘Bonnie’. Photo par Wildfeuer.

Un autre cultivar qu’on peut trouver est C. comosum ‘Hawaiian’, dont les feuilles poussent d’un vert tendre et clair qui, avec le temps, devient plus foncé. Sans nouvelle pousse, il n’est pas possible de distinguer ce cultivar du C. comosum «naturel», entièrement vert.

De nouveaux cultivars originaux

Bien sûr, comme c’est le cas avec toutes les plantes, on voit souvent apparaître de nouveaux cultivars aux noms fantaisistes, ce qui crée une grande confusion: ‘Atlantic’, ‘Ocean’, ‘White Lightning’, ‘Silver Surfer’, etc. Il est possible que ces cultivars soient aisés à distinguer lorsque mis aux côtés de ‘Vittatum’ ou ‘Variegatum’, ou alors qu’un aspect de la plante soit singulièrement amélioré avec ces nouveaux cultivars… tout comme il est plausible qu’il s’agisse simplement de noms pour faire mousser les ventes!

Cultivar identifié comme ‘Milky Way’ par Yercaud-elango, qui a pris la photo. Pour moi, on pourrait aussi dire qu’il s’agit simplement de ‘Vittatum’…

Trois autres espèces de chlorophytums sont parfois cultivées à l’intérieur:

  • C. macrophyllum, une espèce aux feuilles plus larges, rappelant un peu dracaena fragrans qui pousserait en touffe;
  • C. laxum, qui ressemble beaucoup à comosum et qu’on utilise parfois en terrarium;
  • C. orchidantheroides ‘Tangerine’, qui mérite son propre encadré.

La plante-araignée orange

Même s’il règne une confusion éternelle sur ses prénoms, il est très facile de remarquer Chlorophytum orchidantheroides ‘Tangerine’, qu’on appelle aussi C. amaniense, C. orchidastrum, C. filipendulum amaniense et ‘Orange Mandarin’ ou ‘Fire-flash’.

Ses larges feuilles d’un vert foncé sont fixées sur une tige dressée par des pétioles d’un orange vif, ce qui rend la plante particulièrement unique au sein des autres plantes d’intérieur. Elle fleurit allègrement en culture d’intérieur (même si l’épi floral est plutôt insignifiant) et on peut la multiplier par semis. Par contre, attention aux blessures: les cicatrices des feuilles endommagées prennent rapidement une teinte noire et particulièrement visible. Il vaut mieux la mettre dans un endroit peu passant et ne pas trop la déplacer. 

Les soins à lui apporter sont essentiellement les mêmes que pour C. comosum, à peu de choses près qu’elle tolère un peu moins les erreurs. Ça reste quand même une plante de niveau «facile», très tolérante aux conditions d’éclairage variées (sauf le gros soleil de l’été) et aux apports d’eau espacés. Vous pourrez appliquer les conseils qui suivent et cultiver sans problème cette belle plante-araignée orange.

Photo par Gunnarbecker1.

Conseils de culture

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Lumière

C. comosum préfère des conditions d’éclairage vif avec un peu de soleil direct et, si bien abreuvée, peut supporter le soleil direct de midi, même l’été. La lumière moyenne est suffisante pour la faire pousser et elle peut survivre, au moins quelques mois, en lumière basse, mais sa croissance sera chétive.

Arrosage

L’arrosage dépend vraiment de la lumière. Durant l’été, une plante qui reçoit beaucoup de lumière pourra être arrosée généreusement, mais attention aux conditions de lumière moyenne ou basse.

C’est une plante qui tolère bien la sécheresse en tout temps grâce à ses racines tubéreuses. Au contraire, elle est assez sensible aux excès d’arrosage et tend à jaunir lorsqu’elle est trop abreuvée.

Le plus simple est de l’arroser en respectant la règle d’or de l’arrosage.

Il existe une autre particularité d’arrosage, surtout pour les sujets plus gros. En raison de son système racinaire expansif, la plante-araignée comprime son terreau, lequel est donc moins disposé à retenir l’humidité. Ayant moins d’eau à disposition, les plantes sont constamment assoiffées et, bien qu’elles puissent survivre à ces conditions sans trop de mal, elles tendent à en souffrir du côté esthétique, notamment en ayant le bout des feuilles secs (plus d’informations suivront sur ce problème de culture fréquent).

Ainsi, pour les plantes immenses ou trop à l’étroit dans leur pot, il vaut mieux les arroser par bassinage, c’est-à-dire en les laissant tremper une trentaine de minutes dans une bassine d’eau. Photo par DenesFeri.

Terreau et rempotage

Sous un bon éclairage, les plantes-araignées poussent très vite et il n’est pas rare de devoir les rempoter plus d’une fois par année. Un terreau traditionnel pour plantes d’intérieur fera parfaitement l’affaire. Pour les sujets de forte taille, ne pas hésiter à tailler les racines au moment du rempotage: C. comosum en fait plus qu’il n’en a besoin.

Humidité atmosphérique

Les plantes-araignées profitent d’une humidité atmosphérique accrue, mais tolèrent également la sécheresse de l’air.

Engrais

On peut fertiliser doucement C. comosum à la moitié de la dose recommandée. À noter que ce n’est pas une plante très gourmande et qu’elle brunit facilement d’un apport d’engrais trop généreux. Une plante rempotée fréquemment dans du nouveau terreau (donc déjà fertilisé, au moins légèrement) n’a pas besoin d’un apport supplémentaire d’engrais.

Température

La plante préfère entre 18 °C et 32 °C pour bien pousser.

Si vous oubliez la plante quelque part, sachez qu’elle peut survivre à de courtes périodes jusqu’à 2 °C, tant qu’elle ne gèle pas. Ce ne sont cependant pas des conditions à maintenir trop longtemps.

Entretien

La plante-araignée est somme toute facile à entretenir. Au-delà du rempotage fréquent et du bassinage des sujets trop gros, on peut se donner le mal de couper le bout des feuilles endommagées et d’arracher les feuilles entièrement sèches.

Mais à quel point, peu d’entretien?

Un de mes amis a déjà dit: «C’est assez difficile d’en tuer une. Le mieux qu’on puisse faire, c’est seulement de les décevoir un petit peu.»

Voici l’histoire de ma pauvre plante-araignée. C’était ma première plante, au-delà d’un flirt de deux semaines avec un basilic d’épicerie. Quand j’ai quitté la Ville de Québec pour aller vivre à Montréal, je l’ai laissée à un colocataire en attendant de me trouver un appartement. Il l’a laissée dans une pièce, les rideaux fermés, sans arrosage pendant deux mois. Quand je l’ai récupérée, elle était entièrement jaunie et plus «plate» que «plante».

Quelques heures après l’arrosage, elle s’est redressée et, après quelques jours de lumière, a repris une teinte moins maladive et elle avait même une nouvelle feuille. Résiliente, la petite!

PS: et deux ans après, je l’ai arrosée trop généreusement l’hiver et je l’ai tuée. Je rajoute ce passage pour toutes les personnes qui ont des problèmes avec les plantes-araignées et qui passent leur temps, en ligne ou en personne, à se faire dire combien elles sont ultra faciles et qu’il faut dont ben être niaiseux pour en tuer une. Ne vous inquiétez pas trop: les seuls jardiniers qui n’ont pas tué de plante «très facile» sont ceux qui n’ont que des plantes en plastique!

Photo par Nguy?n D??ng Khang.

Multiplication

Quoi de plus facile? Une plante qui crée d’elle-même ses propres boutures (des marcottes, véritablement). Il suffit d’attendre que les petites racines pointent leur binette pour les mettre directement dans le terreau légèrement humide. On peut aussi les mettre dans l’eau avant, mais c’est une étape intermédiaire qui n’est pas nécessaire. Finalement, on peut les laisser attachées à la plante mère jusqu’à ce qu’elles aient fait leur système de racine autonome, pour grandement limiter le risque (déjà faible) que les marcottes sèchent avant d’avoir pu développer leurs racines.

Cette plantule est amplement prête à être mise en terre! Photo par Wildfeuer.

Problèmes

  • Insectes: C. comosum est peu sujet aux insectes, on les voit parfois être affectés de cochenilles, de tétranyques et de thrips. C. orchidantheroides ‘Mandarine’ est particulièrement sujet à ces derniers.
  • Pas de floraison: on ne connaît pas exactement les mécanismes qui stimulent la pousse du stolon chez la plante-araignée. Il est probable que de simplement lui offrir plus de lumière soit la voie à suivre pour faire fleurir le chlorophytum. Plus de lumière… et un peu de patience.
  • Jaunissement de la plante: elle a trop été arrosée. Il faut laisser le terreau sécher entièrement avant de faire un autre apport d’eau. Si la plante a commencé à perdre ses racines, la dépoter, enlever les racines pourries et rempoter dans du terreau frais. Sous une bonne lumière, elle devrait faire de nouvelles racines rapidement. Prélever une marcotte au cas où la plante ne survivrait pas à ce choc.
  • Traînées brunes sur la feuille: il s’agit d’un excès d’arrosage. Ce problème est surtout fréquent l’hiver. En lumière basse, arroser plus légèrement les plantes.
  • Plante pâle, croissance chétive: la plante n’a pas assez de lumière. Bien qu’elles soient parfois vendues comme plantes d’obscurité, les chlorophytums ne sont pas des plantes qui survivent longtemps sans au moins une lumière moyenne.

Le problème de la pointe des feuilles qui brunit

Un des problèmes de culture les plus fréquents avec C. comosum, c’est que le bout des feuilles s’assèche. On appelle ce phénomène en anglais «burnt tips» ou «bouts brûlés». D’autres plantes d’intérieur sont aussi affectées, comme les dracénas (Dracaena), les cordylines (Cordyline) et les plantes-prieuses (Calathea, Marantha).

Plusieurs raisons sont à blâmer. Les voici, par ordre de fréquence en ce qui concerne la plante-araignée:

1. Le terreau contaminé: C. comosum est particulièrement affecté par les excès de minéraux dans le terreau. On recommande de lessiver régulièrement le terreau des plantes d’intérieur, particulièrement dans le cas de C. comosum.

2. Le chlore dans l’eau: contrairement à la croyance populaire, la présence de chlore dans l’eau ne dérange pas trop les plantes d’intérieur. On n’a généralement pas besoin de laisser l’eau reposer avant d’arroser, pour la plupart des plantes. Mais, il y a quelques plantes plus sensible au chlore – et C. comosum en fait partie. Si vous avez accès à de l’eau de pluie, c’est une bonne candidate pour utiliser cette précieuse denrée.

3. Le manque d’eau: malgré sa résistance pour survivreà la sécheresse, la plante-araignée préfère quand même ne pas constamment être en stress hydrique. On réduit beaucoup ce risque en arrosant les gros sujets ou ceux en panier suspendu par bassinage, comme expliqué plus haut.

4. L’humidité atmosphérique: chez les plantes aux feuilles délicates (Calathea, Marantha, Cordyline), c’est souvent l’humidité atmosphérique qui est trop basse. C’est certainement un facteur important pour la plante-araignée.

5. L’excès d’eau: attention à trop arroser les plantes-araignées! Si le terreau est constamment humide, les racines finissent par être asphyxiées. Les bouts des feuilles brunissent alors… suivis des feuilles tout entières et de la plante!

6. L’excès d’engrais: attention à trop fertiliser. Cela étant dit, puisque C. comosum pousse vite, les risques de gaver cette plante sont moindres.

Je vois venir les lecteurs alertes. Une plante «très facile», mais qu’il faut placer près d’un humidificateur et arroser à l’eau de pluie? Certainement pas si facile que ça! La vérité c’est que, contrairement à d’autres plantes qui peuvent souffrir des feuilles sèches, les plantes-araignées sont très résilientes. Elles produisent assez de nouvelles feuilles pour remplacer les quelques malheureux centimètres affectés. Ce n’est donc pas un problème pour elles: c’est un problème pour le jardinier.

La technique des jardiniers paresseux est de laisser la plante sans humidificateur, d’arroser à l’eau du robinet… et d’ignorer les bouts brunis!

Photo par Ljiljana Sunda?.

Toxicité

C. comosum n’est pas toxique. Elle est particulièrement appréciée des chats, qui grignotent parfois ses feuilles. Certains scientifiques suggèrent que la plante a même des propriétés hallucinogènes pour les félins, en raison d’un de ses composés qui est similaire à l’opium, ce qui explique pourquoi certains minous y retournent sans cesse. C. comosum peut causer de légers problèmes digestifs chez les animaux, comme les autres types d’herbe que les chats mangent, mais c’est un problème qui est très rarement vu.

Purification de l’air

Ah! cette bonne vieille étude de la NASA. On la ressort à toutes les sauces.

Alors, pour mes amateurs de propriétés dépolluantes des plantes, sachez que C. comosum filtre particulièrement bien le formaldéhyde et le xylène.

Bien sûr, les plus sceptiques se poseront la question suivante: est-ce que les plantes purifient l’air? Et la réponse est: peut-être que oui… du moins, dans un environnement contrôlé. Dans les maisons, on ne sait pas.

Conseils de présentation

Les plantes-araignées sont souvent présentées dans des paniers suspendus, dont on laisse pendre les plantes de plus en plus jusqu’à ce qu’elles touchent le plancher. Attention à ces présentations: les plantes dans les pots suspendus sont presque toujours trop grosses pour leur réserve de terreau – et c’est encore plus vrai pour C. comosum, avec ses racines massives. Un arrosage par bassinage est absolument nécessaire pour les gros sujets en panier suspendu.

Photo par Forest & Kim Starr.

Conclusion

Chlorophytum comosum est souvent la première plante des jardiniers de demain. Elle est facile, se remet bien des chocs et se multiplie rapidement, ce qui en fait un beau cadeau pour les amis, surtout ceux qui ont des chats. Elle peut paraître banale pour certains, mais elle a le charme de posséder des valeurs sûres!

Photo par Cheryl.

commentaire sur "Plante-araignée: origine, variétés et conseils de culture"

  1. Bonjour et merci pour de nous donner toutes ses informations sur la plante araignée. Vous êtes aussi généreux qu’elle ??

  2. Merci pour toute cette belle présentation. C’est vraiment facile cette plante.
    J’en ai plusieurs, feuilles vertes complètement, feuilles vertes avec bordures blanches, feuilles vertes avec une ligne blanche au centre.. elles ont toutes des rejetons. Beau décor.
    Merci ?

  3. Merci, Colin, pour ce tour d’horizon complet des Chlorophytum. Moi qui cultive des plantes autrement plus capricieuses, je dois avouer que j’ai tué quelques plantes-araignées sans doute en les arrosant trop. J’ai plutôt opté pour les Dracaena qui n’ont pas tendance à avoir les pointes brunes.
    J’aime bien la technique des jardiniers paresseux mais je n’arrive pas à l’appliquer entièrement: les pointes brunes me désolent un peu.

  4. Merci pour cet article. Vos informations sont toujours extrêmement approfondies.

  5. Merci pour tous ces renseignements. Je comprends maintenant pourquoi ma chatte Gaby s’acharne sur ma plante araignée. Toutes les occasions sont bonnes pour qu’elle grignote les bouts des feuilles ainsi que les tiges de nouveaux bébés. Et, oui, elle semble adorer cette plante!

  6. Je comprends mieux maintenant pourquoi mes chattes Sont toujours après cette plante merci beaucoup pour l’information.

  7. J’adore cette plante, personnellement lorsqu’elle deviennent trop grosses malgré un bon rempotage je les installe dehors à l’été en semi-ombragé
    Certaines sont tellement jolies que je les rentre à l’intérieur au début septembre
    Les autres au compost…

  8. Merci pour cet article très instructif! La dernière photo m’a bien fait rire, c’était le pot à fèves au lard de ma mère!

  9. Merci infiniment pour cet article qui fait le tour de la question! Vois avez répondu à plusieurs questions que je me posais récemment au sujet de ma plante-araignée. En plus, vous avez une écriture qui donne envie de continuer à vous lire le plus longtemps possible!!!

  10. J’avais une chatte qui adorait lécher les plantes araignées. Une fois par année, j’emmenais celles du bureau pour leur rempotage annuel et dès qu’elle entendait le bruissement des feuilles quand je les déposais parterre en entrant, elle se précipitait pour les laver feuilles par feuille. Je n’avais donc pas à les doucher. Elle ne les grignotait pas comme mes autres chats et même le chien le fait à l’occasion. J’avais donc une chatte junkie????

  11. Bonjour, article très intéressant.
    J’essaye tout de même de comprendre pourquoi ma plante chercher à sortir du pot. Je l’ai rempotée, et elle se jette en bas du pot encore…j’ai ajouté une amie pour que mon pot soit moins vide: un petit lierre.

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