Categories

Recherche

Coléus: origine, variétés et conseils de culture

Grand classique des terrasses estivales, le coléus se cultive dehors comme dedans. Bien qu’il soit vendu comme une annuelle, il se comporte très bien à l’intérieur, permettant aux amateurs de feuillage coloré de le conserver à longueur d’année ou jusqu’à la prochaine boîte à fleurs. Ne vous laissez pas berner par les vendeurs qui voudraient que vous jetiez votre coléus et apprenez à le garder comme plante d’intérieur dès maintenant.

Photo par Leonora (Ellie).

Origine

Il n’est pas possible de déterminer l’origine du coléus, car sa culture comme plante ornementale n’est pas nouvelle – la plante se retrouve de l’Afrique à l’Australie, en passant par l’Asie. Certaines sources suggèrent que sa véritable origine est Java, en Indonésie, mais cette information n’est pas confirmée.

Le coléus appartient à la famille des Lamiacées, dont on entend le nom surtout pour parler de plantes aromatiques: basilic, menthe, romarin, lavande, thym, etc. À l’extérieur, on cultive également la sauge (Salvia), les népenthès (Nepeta) et la bugle (Ajuga), faisant partie de cette famille, et à l’intérieur… à peu près seulement le coléus, de même que ses très proches cousins, les plectranthus dont certains font office d’amis verts pour les intérieurs lumineux.

Photo par Forest & Kim Starr.

Des noms à n’en plus finir

Il m’a été difficile de trouver le dernier nom scientifique du coléus, puisque celui-ci ne cesse de changer. Citons Larry Hodgson lui-même, dans son article La valse des noms botaniques: «Coleus blumei… oups, je veux dire Solenostemon scutellarioides… pardon, plutôt Plectranthus scutellarioides.» En effet, le coléus est passé par tous ces substantifs. Depuis 2019, il semble que ce soit Coleus scutellarioides qui ait gagné la course… et cela jusqu’à ce que les taxonomistes changent à nouveau d’avis!

Le suffixe blumei avait été nommé par botaniste néerlandais Karl Ludwig Blume, quand il l’a rapporté de Java au milieu du XIXe siècle. De son côté, scutellaroides signifie «qui ressemble à une scutellaire (sans toutefois en être une), ou fausse-scutellaire» – la scutellaire désignant les quelques 300 à 470 plantes du genre éponyme, dont les fleurs ressemblent en effet à celles du coléus.

En ce qui concerne les préfixes, les coléus ont d’abord été désignés par le terme Coleus, jusqu’à ce qu’on les renomme en 2006 Solenostemon (dans l’unique objectif de m’embêter, car j’ai bien de la difficulté à écrire Solenostemon). En 2012, avec les avancées des études d’ADN, on décide plutôt qu’il s’agit de plectranthus et les deux genres sont groupés sous cet emblème… jusqu’en 2019, où on distingue à nouveau les coléus des autres plectranthus en leur donnant le préfixe de Coleus. Eh oui! tout ça pour ça!

Photo par Kenpei représentant des Coleus, des Plectranthus et des Solenostemon, puisqu’il s’agit tous de noms acceptés pour désigner les coléus.

Description

Les coléus font partie de la catégorie des vivaces à courte vie (et non strictement des annuelles, bien qu’ils soient vendus sous cette étiquette). À croissance rapide, ils atteignent généralement des tailles entre 30 et 60 cm; leurs tiges finissent par se couvrir d’une légère écorce – on dit alors d’eux qu’ils sont semi-ligneux.

Les coléus sauvages sont très différents des cultivars modernes, issus d’une importante histoire d’hybridation pour en préserver les meilleures caractéristiques. Ainsi, dans la nature, ce sont des plantes peu ramifiées aux tiges quadrangulaires, avec des feuilles ovales et dentelées (faisant un peu penser à celles de la menthe). Les feuilles poussent au bout de pétioles opposés sur la tige.

Les coléus sauvages sont bien différents de nos coléus d’origine horticole! Photo par Bjoertvedt.

Lors de la floraison, les coléus produisent des épis couverts de petites fleurs relativement insignifiantes de couleur bleue ou lilas. Ils fleurissent généralement à l’automne, se garnissant de fleurs tubulaires aux pétales fusionnés.

Photo par Abhishek Mishra.

Variétés

Évidemment, les cultivars choisis avec soin pour leurs capacités ornementales sont très différents de ceux qu’on retrouve dans la nature! Les nouveaux sont souvent très ramifiés, formant un petit buisson sans qu’on ait à les pincer comme on devait le faire avec les anciens. La floraison est parfois retardée, quand elle n’est pas complètement absente.

Toutefois, c’est véritablement le feuillage qui fait le charme de cette plante si prisée! Des couleurs que le coléus peut revêtir, seul le bleu est absent; on voit alors des feuilles traditionnelles aux teintes vertes à néon, de même que roses, rouges, pourpres (voire presque noires) et oranges dues aux mêmes pigments que ceux qu’on retrouve, par exemple, dans les prunes ou les framboises (l’anthocyane). Ces mêmes feuilles peuvent alors être panachées de pans blancs ou crème, à divers degrés (mais jamais totalement: il faut qu’il reste dans la feuille assez de pigments verts, cachés ou non par l’anthocyane, pour produire de l’énergie via la chlorophylle).

Photo par Cole Shatto.

Forme des feuilles

La forme des feuilles est relativement variable: certaines sont plus lancéolées ou découpées, et leur pourtour dentelé peut également être plus prononcé. On voit aussi des coléus au port retombant. Enfin, la taille des coléus peut changer: certains atteignent maintenant des tailles d’environ un mètre ou présenter de denses feuilles de taille restreinte.

C’est probablement la plus étrange forme de feuillage de coléus que j’aie vue! Photo par FrincesEzra.

Couleur des feuilles

Une particularité des coléus est que la couleur des feuilles est très variable selon la quantité de lumière obtenue: ainsi, deux plants issus de la même plante de base peuvent avoir des apparences assez variées, selon les conditions de culture.

Même si je ne suis pas 100% sûr, ceci pourrait être deux déclinaisons de la même plante, exposées à des conditions lumineuses différentes. C’est le genre de variation qu’on voit naturellement selon les conditions de culture. Photo par Wilfredo Rafael Rodriguez.

Conseils de culture

Cette image a un attribut alt vide ; le nom du fichier est Sunsoleil.jpg

Lumière

Une certaine confusion règne quant à savoir quel éclairage donner au coléus. En effet, plusieurs personnes parleront de plante d’ombre et on pourrait vouloir lui donner une lumière moyenne ou basse à l’intérieur. Or, il n’en est rien.

En effet, c’est à l’extérieur qu’on peut qualifier les coléus de plantes d’ombre, car ils y poussent très bien. S’ils reçoivent un peu de soleil direct, leurs coloris peuvent même être encore plus vifs.

Cependant, puisque l’ombre à l’extérieur est déjà plus lumineuse que la lumière vive de nos demeures, il faut bien comprendre que le coléus n’est pas une plante de lumière faible du tout. À l’intérieur, il préférera donc une lumière vive avec un peu de soleil direct.

Certains cultivars modernes, au feuillage foncé, tolèrent le plein soleil. Photo par David J. Stang.

Arrosage

L’arrosage des coléus est généralement assez fréquent. C’est une plante qui demande, à l’instar d’autres grandes assoiffées, un terreau uniformément humide en tout temps. Puisqu’il n’a pas vraiment de période de repos, il faut vérifier fréquemment qu’il n’a pas besoin de davantage d’eau, même l’hiver.

Il est facile de voir un coléus en stress hydrique, puisque ses feuilles retombent tristement comme de vieux mouchoirs quand il est temps de l’arroser. Bien que ce traitement ne soit pas optimal, le coléus reprend plutôt bien à la suite de ces oublis, mais il perdra sans doute quelques feuilles basales.

C’est d’ailleurs la même chose à l’extérieur: lors des journées de canicule, il n’est pas rare de devoir arroser son coléus plusieurs fois par semaine.

On voit ici les tiges dénudées de coléus qui n’ont pas été assez fréquemment arrosés. Photo par Rameshng.

Humidité atmosphérique

Comme beaucoup de plantes tropicales, le coléus préfère une bonne humidité atmosphérique, mais tolère bien l’air sec de nos maisons. On voit peu de dommages causés par la sécheresse atmosphérique sur les feuilles des coléus, mis à part l’assèchement de certaines nouvelles pousses.

Attention toutefois aux conditions trophumides, qui peuvent causer des maladies foliaires ou du mildiou.

Photo par Forest & Kim Starr.

Terreau et rempotage

Le coléus tolère tous les types de sol. Je conseille des sols à base de fibres de coco, qu’il est facile de garder légèrement humides en tout temps. Quelques éléments drainants, comme de la perlite, permettent de réduire le risque (rare, mais qui existe) de pourriture des racines.

Avec sa croissance débordante, il n’est pas rare de devoir rempoter fréquemment le coléus. Ce dernier se remet très vite de ces rempotages, ne subissant pas vraiment de choc significatif.

Photo par Forest & Kim Starr.

Engrais

On peut le fertiliser avec un engrais tout usage – le quart de la dose recommandée suffit. Puisque le coléus n’a pas de période de repos, on peut le fertiliser en tout temps. Cela étant dit, il peut pousser en orgueil  (s’étioler) durant les mois où la lumière est basse, donc si vous n’avez pas une belle lumière l’hiver, ne le fertilisez pas jusqu’au retour du beau temps.

Photo de Yercaud-Elango.

Température

Les coléus sont des plantes strictement tropicales qui ne tolèrent pas du tout le gel. Ils peuvent être endommagés, voire mourir, lorsque les températures baissent en dessous de 10 °C. Il est préférable de les garder au-dessus de 15 °C en tout temps.

Photo par Forest & Kim Starr.

Entretien

Tel qu’il a été évoqué plus haut, les principales étapes de l’entretien des coléus se résument à les arroser, de plus en plus fréquemment, jusqu’à ce qu’un rempotage soit inévitable. En ce sens, les coléus rappellent un peu les misères (Tradescantia) et les plantes-araignées (Chlorophytum). De plus, les coléus sont très enclins au phototropisme, c’est-à-dire qu’ils poussent vers la lumière. Ils demandent donc d’être fréquemment tournés.

Selon les cultivars, il est peut-être nécessaire de pincer le coléus, c’est-à-dire de supprimer la pousse terminale pour encourager la plante à se ramifier. Le coléus se ramifie facilement et, avec un pinçage régulier, on peut facilement obtenir un port buissonnant et attrayant. Il faut parfois soutenir la plante à l’aide de tuteurs. On peut aussi donner au coléus la forme d’un petit arbre.

Photo par Hardyplants.

Encore une fois selon les cultivars, il peut être nécessaire de supprimer les tiges florales quand elles poussent. Ce n’est pas que le coléus meurt après avoir fleuri, c’est plutôt qu’il tend à s’enlaidir durant le processus. Les fleurs lui demandent en effet beaucoup d’énergie qu’il ne met alors pas sur son feuillage.

La floraison

Bien entendu, il est tout à fait acceptable de laisser la plante fleurir pour en voir les fleurs, au moins une fois. Personnellement, bien qu’elles soient plutôt insignifiantes, je trouve que leur couleur bleutée peut offrir un contraste intéressant avec un feuillage rose ou rouge. Toutefois, quel ménage à faire quand elles commencent à sécher et à tomber partout…!

Pour plus d’information sur les fleurs de coléus, découvrez cet article pour pincer les fleurs de coleus.

La floraison des coléus représente un «vrai» problème en intérieur, où même les variétés moins promptes à fleurir finiront certainement par le faire. On peut offrir des jours longs (c’est-à-dire, des journées où la lumière est présente plus de 12 h) pour retarder ladite floraison, notamment en plaçant le coléus sous des lumières d’appoint (avant que l’animal ne devienne trop gros… ce qui, tout comme pour la floraison, semble inévitable avec les coléus!).

De mon expérience, les tiges qui ont décidé de fleurir se bernent à continuer d’essayer de le faire, bien que j’enlève jour après jour les épis floraux. Avec les coléus, il est parfois temps de recommencer la plante à zéro avec des boutures et d’écarter la plante mère, surtout quand elle se dégarnit puisqu’on n’arrive pas à la maintenir suffisamment arrosée. Heureusement, rien n’est plus facile que le bouturage du coléus. 

Photo par Georges Seguin.

Multiplication

On commence avec un petit coléus de trois feuilles au début de l’été et on peut offrir un petit buisson à chacun de ses amis à la fin! C’est simple, le coléus se bouture très facilement et très rapidement. Que les boutures soient faites dans la terre ou dans l’eau, aucune difficulté. Les racines apparaissent souvent en moins d’une semaine. Pour les boutures faites directement dans la terre, un apport d’humidité peut être bénéfique, mais évitez les conditions de serre, qui peuvent causer plus de problèmes foliaires qu’elles n’en résolvent.

On recommande parfois de couper les larges feuilles en deux, pour éviter que la bouture ne perde trop d’eau. Personnellement, je ne le fais jamais, mais c’est vrai que des boutures plus menues réussissent mieux qu’une branche complète. Ne vous inquiétez pas: petit bébé coléus deviendra vite grand!

Photo par Don McCulley.

On peut aussi facilement faire pousser le coléus à partir de semences. Il faut alors planter les graines en surface du terreau (elles ont besoin d’être exposées à la lumière pour germer) à une température d’au moins 21 °C. Les premières feuilles à apparaître seront entièrement vertes, mais les prochaines seront de la couleur du cultivar choisi. On vend souvent des mélanges de graines de coléus, ce qui peut donner des sujets variés. Les semences des coléus sont aussi rarement fidèles au type, c’est-à-dire que les plantes qui en pousseront ne seront pas forcément pareilles à la plante dont les graines sont issues.

Il est rare que les mélanges de graines permettent aux jardiniers d’identifier avec précision le cultivar de coléus donné… mais la même chose est vraie pour les coléus vendus sur le commerce: il est rare qu’ils soient identifiés! Photo de Barry Solow.

Problèmes

En général, les coléus ne sont sujets ni aux maladies ni aux insectes. Voici cependant les principaux problèmes:

  • Pétioles mous, feuilles fanées: la plante a besoin d’eau. Si le terreau est détrempé, prélever des boutures: les racines pourraient être atteintes de pourriture.
  • Feuilles poudreuses, comme recouvertes d’une poudre blanche: mildiou. Enlever les feuilles atteintes. Augmenter la circulation d’air ou légèrement réduire l’humidité ambiante.
  • Ravageurs: aleurodes, cochenilles en tous genres, mites du cyclamen, pucerons et tétranyques.

Toxicité

Les coléus ne sont pas toxiques. Ils auraient des propriétés hallucinogènes légères qui demeurent, jusqu’à présent, peu étudiées. (Cela dit, je ne vous recommande pas de les essayer!)

Photo par Agnieszka Kwiecie?.

Conseils lors de l’achat

Bien qu’il puisse être tentant d’acheter un coléus déjà grand, il est si facile d’en acheter un petit et si agréable de le voir grandir. En plus de faire des économies, on peut s’amuser à le tailler ou à le bouturer. Ne pas hésiter à acheter un coléus légèrement asséché dans la section «ristourne» des jardineries: à moins qu’il soit aussi croustillant qu’un paquet de chips, il est sûrement très facile de l’arroser adéquatement et de le voir magiquement revivre (les jardineries de grande surface peinent souvent à garder les plantes suffisamment humides, d’autant plus que les coléus sont souvent vendus dans des pots temporaires bien trop petits!).

Encore mieux: surveillez les amis qui achètent des jardinières toutes faites: ils accepteront probablement de vous faire de petites boutures gratuitement. Les coléus sont très fréquents dans les arrangements estivaux. Surveillez aussi les sites d’annonces comme Kijiji ou Marketplace: il n’est pas rare que des jardiniers altruistes donnent des boutures gratuitement, tant les coléus sont prolifiques.

Le plus dur reste encore de choisir le cultivar qui nous plaît le plus! Photo de Leonora (Ellie).

Conclusion

Ne vous laissez pas berner par les vendeurs qui jurent que les coléus sont annuels: en acheter un, c’est avoir suffisamment de coléus pour remplir toute la maison au bout de quelques semaines. Les soins sont simples, la croissance rapide et les besoins en eau élevés – mais ils en valent la peine avec leur feuillage tellement coloré! Que ce soient sur nos terrasses l’été ou sur nos fenêtres les plus lumineuses l’hiver, les coléus ont absolument leur place dans nos cœurs.

Photo par Macdond.

  1. Merci pour cet article. Je vais m’occuper encore beaucoup mieux de mon coleus! Il survit à mes longs départs hivernaux!

  2. Article très intéressant, je vais garder mes coléus à l’avenir et j’irais probablement prendre qques boutures chez la famille et amis?

  3. Cher monsieur Laverdure,
    Encore un article très instructif qui me sera très utile. Les Coleus sont de très belles vivaces à durée de vie courte que je bichonnerais dorénavant grâce à vos bons conseils. Longue vie à votre chronique!

  4. Très intéressant, merci! Il est vrai que le plus difficile est d’arrêter son choix sur un cultivar en particulier 🙂

  5. C’est ce que je fais depuis des années et j’ai d’énormes jardinières de coléus des juillet. Je garde toutes mes boutures durant l’année et au printemps, je les mets en pots! Sublime!

    • Plutôt une question. Mes coleus, en alternance avec des Hostas chartreuses sont devenus tellement imposants qu’ils faisaient ‘ombrage’ aux Hostas. Comment conserver les nombreuses coupes faites ce matin pr les rabattre afin de les bouturer pr l’été prochain? Je ne peux pas toutes les mettre en pot! Merci pour ce thème particulièrement intéressant pr moi.

  6. Jacquemin Françoise

    Grand merci pour cet article bien documenté et super intéressant !! Je vais regarder cette plante avec plus d’intérêt grâce à vous !!!

  7. Merci pour cet article! Je pense que le coleus est ma plante préférée. Je la mets en pots sur mon balcon depuis une quinzaine d’années au moins et c’est seulement l’an dernier, dans un article similaire dans ce blogue que j’ai appris qu’il ne s’agissait pas d’une plante annuelle! J’ai donc sauvé, l’hiver dernier, un gros plant que j’ai gardé à l’intérieur et que j’ai utilisé, ce printemps, pour créer des boutures. Mes pots de coleus sont encore une fois superbes cette année! Quel bonheur! Je n’achetai donc plus de coleus au printemps et je continuerai à avoir le plus beau balcon du voisinage!
    Merci aux divers jardiniers paresseux (et économes) pour vos excellents conseils!

  8. Très heureuse d’en apprendre plus. Depuis 2 ans j’expérimente la conservation d’un coleus dans la maison à l’année. Merci encore!

  9. Moi, je n’ai pas de problèmes avec les coleus. Ce sont mes phlox qui avec les fortes pluies, se sont rabattues et écartelées. Est ce que je dois les rabattre ? Merci

  10. Cher Colin, c’est toujours aussi agréable de te lire 🙂
    Je connais les coléus depuis plus de 50 ans & ils ont vraiment évolué, pour mon plus grand plaisir ! Je rentre également mes bégonias & géraniums, que je perpétue d’année en année. J’adore faire des essais pour tenter de conserver mes plantes le plus longtemps possible.

  11. Que c’est intéressant! Merci!

  12. Bonjour, merci pour toute ses précisions, mais vous dites pas de Coleus bleu, j’en ai déjà vu en photo, comment es-ce possible?

  13. Une coquille semble s’être glissé dans la section origine. Nepentes ne désigne pas le nom commun de nepeta (mente à chat) mais bien une plante complètement différente (plante carnivore tropical)

  14. Bonjour super article. Vous connaissez comment polliniser manuellement les fleurs? (Pour créer soit même ces variétés)

  15. Merci très enrichissant j’en ai acheté un beau pot en Sicile que je garde à l’intérieur mais je pense le mettre en pleine terre cet hiver pour le ardeur plus longtemps

  16. Pour le garder désolée ma langue a fourché

Chers lecteurs du Jardinier paresseux,

Nous améliorons actuellement notre système d’envoi des courriels pour vous offrir une meilleure expérience. Ce système vous permet de recevoir une notification dès qu’un nouvel article est publié. Comme tout changement technologique, quelques ajustements pourraient être nécessaires—merci d’avance pour votre patience!

Avant d’aller plus loin, nous voulons nous assurer que vous souhaitez toujours recevoir ces notifications chaque matin, beau temps, mauvais temps.

Pour continuer à recevoir votre dose quotidienne d’inspiration jardinage, confirmez votre abonnement dès maintenant!

Infolettre