Confession d’une fausse experte: Google est mon meilleur ami
Préparez-vous à perdre toute estime pour moi. Vous savez combien de fois par semaine j’utilise une application d’identification de plantes? Combien de fois je recherche sur google «Pourquoi ma plante fait ça»? Plus souvent que vous ne le pensez!
Vous me prenez peut-être pour une super experte qui connaît toutes les plantes du Québec par cœur… ben non! Je tue les plantes que je ne comprends pas, je n’ai pas encore récolté une seule tomate cette année, et si je suis assez bonne pour identifier nos plantes indigènes, ne me demandez pas de nommer les plantes ornementales, je vais vous répondre que c’est «une p’tite fleur rouge».

Bon, là je dramatise un peu, mais la vérité, c’est que même nous, les soi-disant «experts», on ne connaît pas tout. Et c’est correct! Internet est devenu notre meilleur allié, notre outil moderne, alors que les livres étaient nos références d’antan. (Ne vous y trompez pas, j’adore et j’utilise encore les livres!)
La vérité sur l’expertise
Il faut que je vous confie une anecdote gênante. La semaine passée, quelqu’un m’a envoyé une photo d’une plante en me demandant de l’identifier. Moi, dans ma grande sagesse, j’ai fait suivre la photo dans PlantNet, j’ai eu ma réponse, et j’ai répondu avec assurance: «C’est un rudbeckia.» La personne m’a écrit: «Wow, tu es vraiment brillante!»
Euh… ben non! J’ai juste fait suivre la photo dans une appli! Je me sentais comme une impostrice…
Mais vous savez quoi? En y repensant, j’ai réalisé que ce n’était pas de la tricherie. C’est mon outil! Pensez-y: même les bûcherons d’aujourd’hui utilisent des tronçonneuses au lieu de taper l’arbre à la hache pendant trois heures.
Sont-ils de moins bons bûcherons? Ben non! Ils sont juste plus efficaces!
La réalité, c’est qu’il existe près de 400 000 espèces de plantes connues dans le monde, sans compter les sous-espèces, cultivars, hybrides, etc. Et on en découvre environ 2000 nouvelles chaque année! Même si je passais ma vie entière à mémoriser des noms de plantes, je n’arriverais jamais à toutes les connaître. Et vous savez quoi? C’est pareil pour TOUS les botanistes de la planète!
Et en plus, je ne suis pas une spécialiste des plantes: je suis spécialiste des écosystèmes en général… Pensez-vous que je vais me taper l’étude de tous les noms latins d’animaux, champignons, bactéries, etc.? Si votre réponse est «oui», je n’ai qu’une chose à vous répondre:
Mes applications secrètes
Bon, puisque je me confesse, aussi bien vous dire toute la vérité! Voici les applications d’identification que j’utilise régulièrement (et sans gêne maintenant!):
PlantNet
PlantNet est mon chouchou absolu. Ce qui me plaît avec cette application, c’est qu’elle vous donne un pourcentage de certitude pour chaque identification. Genre, elle va me dire «85% certain que c’est un érable à sucre». J’adore ça parce que ça me force à utiliser mon cerveau aussi! Si elle me dit qu’elle est juste 30% certaine, je creuse davantage, j’ajoute d’autres photos, ou je fouille ailleurs.
Dans mon exemple plus haut, le pourcentage est assez bas (51%), mais toutes les possibilités suivantes étaient des rudbeckies. Je ne sais peut-être pas laquelle c’est exactement, mais c’est assez pour savoir que ce n’est pas une plante à arracher en désherbant. Je serais plus pointilleuse si je cherchais à identifier une plante comestible, par exemple.
En trois étapes: on prend la photo, on choisit ce que c’est, et on a une réponse. Platycodon ou campanule? En regardant la famille, on voit que les deux sont dans le groupe campanules, même si l’une d’elles a un nom commun fancy.
iNaturalist
iNaturalist pour confirmer mes identifications et voir ce que les autres utilisateurs ont trouvé dans ma région. C’est pratique parce que la communauté peut corriger les erreurs d’identification. En plus, c’est TOUT ce qui vit: plantes, mais aussi animaux et champignons. Et vous pouvez sélectionner la région où vous habitez.
Si Ginette vous dit que vous avez X ravageur dans vos plantes, iNaturalist vous montrera des images de ce suspect, en plus de vous dire où les photos ont été prises. Si vous n’avez jamais vu cet insecte dans vos plantes, ou qu’aucune identification ne vient du Québec, peut-être que Ginette est dans les patates!
Ce qui est pratique, c’est que vous pouvez chercher en français, en anglais, en latin, comme vous voulez. iNaturalist est quand même très bon sur les noms communs. De plus, on peut cherche une espèce précise, ou bien un groupe. Vous êtes en Jamaïque, vous voyez un colibri que vous n’avez jamais vu? Faites une recherche générale pour colibri, et identifiez sur la carte la région qui vous intéresse, vous ne verrez ensuite, dans la section grille, que les observations de cette région précise. Un outil fantastique, je vous le dis!
BirdNet
BirdNet quand je veux identifier… les chants d’oiseaux. On enregistre et il nous dit ce qui est le plus probable. Ça prend un téléphone assez sensible et un point d’écoute loin des routes et protégé du vent, mais c’est assez impressionnant! Les jardiniers matinaux, c’est certain que vous vous êtes déjà demandé qui sifflait pendant votre travail: la réponse est à votre portée!
Étape 1: on lance l’application, qui se met à enregistrer. Étape 2: quand on entend un chant, on le voit généralement sur le diagramme de son, on pause l’enregistrement et on sélectionne la section qui contient le chant à identifier (pratique si vous avez plusieurs oiseaux qui chantent en même temps!). Étape 3: on clique analyser… Et c’est tout!
Le plus beau: ces outils sont tous GRATUITS. (Je vous ai déjà dit par le passé que j’étais cheap!) Apprenez à les utiliser, ça vaut vraiment la peine. La preuve: ce n’est pas la première fois que je vous en parle!
Attention quand même: parfois, les applications se plantent (jeu de mots assumé!). Le gros bon sens reste de mise: il n’y a pas de pélican au Québec!
L’art de bien googler en jardinage
Maintenant, parlons de l’éléphant dans la pièce: Google. Oui, je google des affaires de jardinage. RÉGULIÈREMENT. Et vous savez quoi? Vous devriez le faire aussi!
Mais attention: il faut savoir comment bien chercher. Voici mes trucs de pro:
Utilisez des mots-clés précis
Au lieu de chercher «ma plante est malade», essayez «feuilles jaunes taches brunes tomate». Plus vous êtes spécifique, meilleures sont vos chances d’avoir une réponse utile.
Fiez-vous aux bonnes sources
Moi, j’évite habituellement les blogues (l’ironie, je sais!), sauf ceux qui sont des sources sûres. Ici, par exemple, je sais qu’il y a une super rigueur et que tous ceux qui écrivent sont des spécialistes. Larry m’a d’ailleurs appris la semaine dernière que je n’avais pas de tomate dans ma serre parce que le plant doit être brassé un peu pour permettre la pollinisation. Pas de vent dans la serre = pas de tomates. Depuis que je les brasse, je vois déjà des mini fruits!
Les sites gouvernementaux (comme Agriculture Canada), les jardins botaniques, les universités, ou les journaux scientifiques (pas super facile à lire, je sais)… ça, c’est du solide!
Attention au biais de confirmation!
C’est le piège classique: quand on pense que X est vrai et qu’on cherche «X est vrai» sur Google, on tombe nécessairement sur LA source qui confirme notre impression, et on passe à côté des 10 autres sources qui disent que X est faux.
Et voici ma règle d’or: N’IMPORTE QUI PEUT ÉCRIRE N’IMPORTE QUOI SUR LE WEB. La preuve? Je pourrais écrire que la nitroglycérine est un excellent engrais pour faire exploser vos fleurs, mais si elles deviennent trop volumineuses, diluez un peu d’Ozempic dedans pour les faire rapetisser. Vous voyez? C’est n’importe quoi, et aucune police du web n’est intervenue pour retirer cette phrase pleine de non-sens.
Donc, choisissez et croisez vos sources. Si trois sites fiables différents disent la même chose, vous êtes probablement sur la bonne piste. Si un blogue obscur dit quelque chose de révolutionnaire… peut-être que c’est trop beau pour être vrai.
Les pièges à éviter en ligne
Ah, les mythes de jardinage sur internet! C’est pire que quand un nouveau film de K-pop fait le buzz… (Ben oui, moi aussi je me fais aller les épaules sur Soda Pop!)
Laissez-moi vous donner quelques exemples de ces idées fausses qui sont si tenaces que ça fait un débat chaque année:
«Les coquilles d’œufs éloignent les limaces.» FAUX! Non seulement les coquilles ne sont pas coupantes, mais en plus, l’odeur des œufs attire les limaces! J’ai vu des vidéos de limaces qui traversaient allègrement des barrières de coquilles d’œufs pour aller se régaler de laitue. Oups!
«Le marc de café acidifie le sol.» FAUX aussi! Le marc de café est pratiquement neutre. C’est un excellent amendement organique, mais ça ne va pas transformer votre sol alcalin en sol acide.
«Il faut enlever tous les gourmands des tomates.» Encore FAUX! Ces fameuses pousses secondaires ne sont pas vraiment des «gourmands» – elles fleurissent et fructifient, et peuvent même doubler votre récolte!
Comment éviter ces pièges? Simple: vérifiez vos sources. Je rappelle que Ginette sur Facebook, ce n’est pas une bonne source. (Je n’ai rien contre vous, Ginette!) Le jardinage, c’est rarement des solutions magiques. C’est de la patience, de l’observation, et… oui, souvent, de la recherche sur Google. C’est long? Ben oui, mais ça va vous éviter de fertiliser votre bégonia avec du jus de raisin!
Déculpabilisez-vous!
Écoutez-moi bien: utiliser des outils ne diminue pas votre expertise, au contraire! Avoir une bonne trousse d’outils est la base de n’importe quel métier. Le bûcheron avait une hache, maintenant il a une tronçonneuse, ça reste qu’il n’a jamais coupé un arbre avec ses dents!
Moi, j’assume totalement le fait d’utiliser mes applications et Google. Ça me rend plus efficace, ça me fait apprendre plus vite, et ça me permet de vous donner de meilleures réponses. Un vrai expert, c’est quelqu’un qui sait utiliser tous les outils à sa disposition, pour donner une réponse la plus vraie possible. Pas quelqu’un d’orgueilleux qui dit ce qu’il pense sans valider ses informations.
La différence entre un amateur et un expert, ce n’est pas que l’un sait tout et l’autre ne sait rien. C’est que l’expert sait comment trouver les bonnes réponses rapidement, comment valider ses informations, et comment distinguer les sources fiables des sources douteuses. Moi la première, je vous dis souvent dans mes articles que je n’ai pas trouvé LA réponse, ou encore que les scientifiques n’ont pas de consensus.
Le doute est le moteur des découvertes, et l’humilité, est le début de l’apprentissage.
Wow, c’est moi qui ai écrit cette phrase? Je suis vraiment trop incroyable!! (Super exemple de doute et d’humilité ici!)
Et maintenant que j’ai avoué tous mes secrets technologiques… est-ce que vous allez continuer à me lire? J’espère que oui! Parce que même si Google et mes applications m’aident, j’ai quand même quelques années d’expérience dans le domaine, et j’ai développé un œil pour détecter les informations bidons… En plus, il paraît que j’écris plutôt bien!
D’ailleurs, j’ai une question pour vous: quelles sont VOS applications secrètes? Vos trucs de recherche? Vos sources fiables? Dites-moi ça en commentaires, on va s’entraider! Après tout, on est tous dans le même bateau: on veut juste que nos plantes soient heureuses!
Invitation spéciale !
Envie de me piquer une jasette? Ce dimanche, j’offre une conférence gratuite et ouverte à tous!
C’est à l’occasion des 10 ans de Sols Vivants Québec, et je donnerai cette activité… dans un champ de fleurs!
Où : Ferme florale Libella, 894, route 214, Bury
Quand : Dimanche 31 août 2025, à 10 h
Plein d’autres activités sont au programme. Au plaisir de vous y voir!














Bonjour,
Merci pour votre article très intéressant.
Je vous partage une autre application gratuite pour l’identification d’oiseaux: https://apps.apple.com/ca/app/merlin-bird-id-par-cornell-lab/id773457673?l=fr-CA
Au plaisir de vous lire à nouveau.
J’aimerais beaucoup te lire Audrey, bel article! Mes 2 applications fétiches sont PlantNet dont tu as parlée et Merlin pour l’identification des oiseaux. Je les adore car toutes les deux ont des publicités mais discrètes contrairement à d’autres applications qui nous noient de pubs. Bravo Audrey, pour tes autres suggestions que je vais aller voir.
Bonjour. Pareil merlin et plantnet. Merci Audrey pour vos bons conseils.
Ann d’eure et loir
Merci Audrey,
pour tes outils, ta générosité, ta bienveillance,..
La Fameuse éfficacité à l’instar du fonctionnement..
Belle journée
Oui, PlantNet est une application fabuleuse. Je l’utilise depuis plusieurs années. J’en ai parlé en long et en large à toutes mes amies ainsi qu’à des inconnus 🙂 rencontrés au hasard de mes visites dans les jardins de Québec! Merci pour vos articles si intéressants et bon jardinage!
Encore de bonnes informations et trucs merci Audrey! J’ai toujours hâte au jeudi pour tes clins d’œil intéressants et rigolos!
Bonjour,
Toujours très agréable et pertinent de te lire.
J’utilise Picture this et Merlin.
Bonjour oh que oui je vais continuer à tollir sans problème!! Pour ma part j’utilise l’application Picture This pour les plantes et le site oiseaux du Québec par la couleur pour identifier les oiseaux que je vois et que je ne connais pas encore
Merci pour tous tes articles intéressants et drôles
Loll tollir = te lire
Je dicte mes messages et j’ai oublié de me relire
J’ai un ajout quant à l’utilisation de Google et de l’évaluation des sources.
Faites attention aux réponses générées par IA. En fait ne prenez pas le temps de les lire! L’IA, pour l’instant, ne fait que donner une réponse syntaxicalement correcte basée sur les probabilités de réponses. Vous allez trouver toutes les légendes urbaines dans ses réponses.
L’IA reste l’équivalent de 2025 de Ginette! Prenez le temps de trouver plus d’une source!
J’ajoute quand même un bémol si vous permettez! Certains IA ont accès à internet et peuvent faire des recherches très poussées dans la littérature scientifique, particulièrement pour les versions payantes. Il m’arrive souvent d’utiliser Claude pour valider des informations et ses réponses sont très complètes et sourcées. C’est un outil comme Google, il faut l’utiliser avec jugement ! Bonne journée !
Merci pour les trucs. Bravo pour ton humilité. Pour identifier les oiseaux j’aime beaucoup « merlin Bird id »
Au plaisir
Merci pour les trucs. Bravo pour ton humilité. Pour identifier les oiseaux j’aime beaucoup « merlin Bird id »
Au plaisir
Merci pour tous ces applications
Merlin peut identifier tous les chants d’oiseaux et ce dans toutes les régions du monde ( ou presque). Instantanément au fur et mesure qu’il les entend même s’il y en a beaucoup en même temps. De plus il peut identifier une photo d’un oiseau.
Vraiment utile !
Bonjour, je l’essaye pour 3 jours. Moi j’utilise Seek depuis longtemps. Un peu plus scientifique dans l’identification…et gratuit!
Moi j’utilise SEEK bon et gratuit!
Pourquoi utiliser Google quand il existe des moteurs de recherche aussi performant (Lilo, par exemple) et bien meilleurs pour l’environnent et la confidentialité des données…Pourquoi donner des sous aux GAFAM qui brassent déjà des milliards ??
Fouiller dans les livres ou fouiller dans Internet, c’est presque pareil en 2025. Cela dit, il faut toujours activer son «logiciel» de pensée critique car ce n’est pas parce que c’est écrit (sur papier ou sur une page web) que c’est exact.
Quelle belle rigueur scientifique! Tout ce que tu écris est clair et informatif. Superfan, moi! Merci d’être là!
Bonjour, moi j’utilise PictureThis depuis plusieurs années. Il me permet d’avoir sous la main toute les plante de mon jardin extérieurs et intérieur. Merci
J’ai vu un médecin faire une recherche sur un site « de médecin » avant de répondre à ma question. Sais-tu quoi? Cette recherche ajoutée à son expérience me donne confiance!
Vous avez raison, il n’a pas pris de risque en choisissant de prendre un avis externe
Vous avez tellement raison ! ! Le dernier médecin que j’ai consulté m’a dit au moins trois fois qu’elle n’était pas trop au courant des nouveaux traitements en lien avec l’eczéma (on s’entend que c’est assez basique comme pathologie et qu’elle doit en voir souvent!)… disons que ça ne m’a pas trop mis en confiance haha
L’application PlantNet ainsi que Merlin sont devenus des alliés pour moi et ont renforcé mon intérêt pour les beautés de la nature qui m’entourent ,
Bonjour,
J’utilise Plantnet depuis quelques années. J’utilise aussi BirdNet. Pour l’ornitologie, j’utilise aussi Merlin, et histoire de contribuer à la science citoyenne, je rapporte mes observations sur eBird. Merlin est fantastique ! Il permet d’identifier presque à tout coup les oiseaux à partir de cinq critères simples : emplacement, date, taille relative, une à trois couleurs, comportement au moment de l’observation. Il peut aussi identifier à partir de photo (prise sur le vif, ou en important à partir de la galerie ou de Google Photo, ou à partir des chants, comme BirdNet. Pour les chants, j’aime bien utiliser les deux en parallèle, ils ont chacun leurs forces.
J’aime beaucoup tes écrits,j’utilise aussi Google pour savoir les noms et la provenance des plantes.Car la provenance me dira si la plante a la tête au soleil ou sous les arbres au sol humide.Je continue à te lire car j’imagine que être experts est humaine aussi.Merci.
Bonjour Audrey, t’inquiète en tant professionnel en biochimie, je consulte des ouvrages, sites de recherches,Google, mais à plusieurs endroits différents recommandés par la science avec bibliographies.
Même les médecins consultent leur bouquin et les mises à jour sur plusieurs sites reconnus.
Alors rien de plus normal de consulter. Ça démontre le professionnalisme.
Moi aussi je consulte plantnet et birdnet Ah ah!
Bonjour Audrey,
Pour l’eczéma, ma professionnelle de la santé m’a prescrit « Topicort ». Quant à « Picture This », il faut quand même payer 49,99$/année. J’utilise « Seek », mais je ne connaissais pas « iNaturalist », je vais l’essayer.
J’adore vous lire, même si le sujet traité ne m’intéresse guère, vous avez une plume tellement drôle et instructive à la fois.
Allo,
J’utilise Picture This mais quelques fois le résultat n’est pas exacte. Je vais ajouter tes applications, merci!
Toujours très intéressant et plaisant de te lire Audrey! J’utilise les mêmes applications que toi. J’aime bien « valider » ( quand je suis sûre d’avoir trouvé la bonne plante) dans PlantNet pour pouvoir la retrouver dans mon profil. J’aime bien ensuite aller dans Google vérifier la rusticité et les conditions de culture si la plante m’est tombée dans l’œil…
Je vais m’empresser de télécharger iNaturalist que je ne connais pas.
Merci !
Ta transparence augmente davantage mon plaisir de te lire. Toujours aussi pertinente. Continue de nous informer. Bravo pour tes articles!
Audrey t es mon idole, de 1 parce que tu es transparente, de deux ; parce que tu partage tes trucs, et surtout parce que tu me fais rire , le plaisir sa pas de prix ??? bonne continuité,et je viens installer les apps .et en effet de sage conseil car internet c est une autoroute et y a toutes de sortes de monde dessus.
Audrey t es mon idole, de 1 parce que tu es transparente, de deux ; parce que tu partage tes trucs, et surtout parce que tu me fais rire , le plaisir sa pas de prix ??? bonne continuité,et je viens installer les apps .et en effet de sage conseil car internet c est une autoroute et y a toutes de sortes de monde dessus.
Oh que non, chère Audrey, tu ne baisses pas dans mon estime parce que tu consultes des bons sites pour répondre aux questions !
Au contraire même… je ne vais pas répéter les commentaires précédents… oh et puis si, merci pour ton humour, ta générosité pour partager tes connaissances et tes recherches, ton intelligence et maintenant, en plus, pour ta transparence !
Ça me fait un bien fou de te lire.
J’utilise Plantnet depuis plusieurs années, c’est beaucoup plus pratique que d’emporter un bouquin pendant les balades et j’apprécie l’annotation du pourcentage de probabilités même si je ne sais pas comment il est calculé.