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50 plantes d’intérieur qui tolèrent l’air sec

L’air sec est un problème majeur pour les plantes d’intérieur pendant l’hiver… et d’ailleurs, pour toute plante qui pousse à l’intérieur (semis, boutures, etc.) à cette saison. Lorsque l’humidité atmosphérique est inférieure à 40%, ce qui est certainement le cas dans de nombreuses maisons, les plantes s’efforcent de compenser en transpirant plus abondamment, c’est-à-dire en libérant de l’eau par leurs stomates (pores respiratoires). Plus l’air est sec, plus elles transpirent, et cela peut les conduire à perdre leur eau plus rapidement que les racines ne peuvent la remplacer, endommageant les tissus fragiles des feuilles et des fleurs. Cela peut conduire à toutes sortes de symptômes de stress: flétrissement, boutons floraux brunis ou avortés, feuilles qui se recourbent, feuilles aux pointes brunes, mort de la plante, etc. Les feuilles stressées par l’air sec sont également plus sujettes aux dégâts des ravageurs (araignées rouges, aleurodes, thrips, etc.) Certaines plantes tolèrent l’air sec Cela dit, de nombreuses plantes, en particulier celles qui sont... Lire la suite >

Un mystère horticole de longue date enfin résolu!

Sans tambour ni trompette, un mystère horticole de 70 ans a été récemment résolu. En effet, la très populaire succulente Sedum morganianum (queue d’âne, orpin de Morgan), aux longues tiges retombantes couvertes de feuilles bleu vert, est cultivée depuis 1935, mais personne ne savait d’où elle venait au juste, car on ne l’avait jamais trouvée à l’état sauvage. La communauté botanique doutait bien que S. morganianum venait du Mexique, car c’est là où il fut remarqué pour la première fois par le botaniste américain Eric Walther dans une petite pépinière, el Jardín Flotante, dans le village de Coatepec, état de Veracruz. Tout comme on présumait qu’il poussait sur des falaises, car autrement comment expliquer son port si radicalement retombant sinon qu’il pousse en cascade à partir d’un paroi rocheux? Mais son origine exacte fut inconnue et quand Walther le décrivit officiellement en 1938, le texte portait la mention «localité type inconnue». Walther nomma cette plante S. morganianum en l’honneur de son ami, le... Lire la suite >