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J’ai tué mon romarin: une véritable histoire de crime et de confession

Le jardinier paresseux révèle son côté sombre dans cette triste histoire sur la façon dont l’inattention et la négligence ont conduit à la mort tragique d’une plante adorée. Par Larry Hodgson Oui, j’ai tué mon romarin chéri, Rosi. Salvia rosmarinus, alias Rosmarinus officinalis, si vous préférez. C’est une mort toute récente, plus tôt ce printemps. Nous étions ensemble depuis 13 ans, une relation fidèle et aimante. Je l’ai arrosé, fertilisé, taillé jusqu’à ce qu’il ressemble à un bonsaï tordu. Et il a donné abondamment de ses feuilles en forme d’aiguilles au parfum délicieusement coniférien. Je doute que je puisse un jour manger à nouveau de l’agneau sans fondre en larmes. Quelle tragédie! Pas la plante la plus facile à maintenir! Je dois dire, cependant, que Rosi ne m’a jamais facilité la tâche. Dans les premières années, le garder en vie était tout un combat. Pas en plein air, toutefois, où il passait l’été; il était toujours très bien sur ma terrasse au... Lire la suite >

Rendez votre romarin heureux

Le romarin préfère des températures fraîches dans la maison. Source: www.thekitchn.com Si vous avez rentré un plant de romarin pour l’hiver, vous trouvez sans doute qu’il n’est plus très en forme. En fait, le romarin (Rosmarinus officinalis) souffre beaucoup de la chaleur que nous maintenons dans nos maisons l’hiver. Il vient d’un climat méditerranéen où les étés sont chauds et secs et les hivers frais et pluvieux. Plus vos conditions lui rappelleront celles de son lieu d’origine, mieux il se comportera. Déplacez-le donc pendant l’hiver vers une pièce très éclairée, mais que vous chauffez à peine (environ 3 à 10 °C la nuit si possible, mais 15 °C est acceptable) et le voilà qui reprendra du mieux. Il peut même tolérer une touche de gel s’il le faut… mais ce n’est pas l’idéal. Continuez d’arroser profondément, mais seulement quand le terreau est sec au toucher. Notez que quand l’air est frais, la fréquence des arrosages peut baisser à seulement une fois toutes... Lire la suite >

Que penser des plantes censées éloigner les chats et les chiens??

On voit parfois sur le marché des plantes qui sont censées, par leur odeur, éloigner les chats et les chiens du jardin. Voilà un concept intéressant, car parfois nos petits amis poilus font bien des dégâts dans le jardin… mais est-ce que ces plantes livrent la marchandise?? L’idée est qu’on peut planter des plantes répulsives çà et là au travers d’une plantation et que les mammifères (c’est souvent les chats* qu’on semble avoir en grippe?!) éviteront alors le secteur. C’est un concept vieux comme le monde… et pourtant, les preuves positives sont rares, voire inexistantes. Beaucoup de prétentions, peu de preuves?? Ça commence mal?! *Pour en savoir plus sur comment vraiment éloigner les chats de vos plantations, lisez Chasser les chats du jardin. Les gens qui plantent des végétaux répulsifs de façon préventive (il n’y avait pas de chats qui fréquentaient ce jardin, mais ils veulent les empêcher de venir) crient souvent victoire très rapidement: «Regardez?! J’en ai planté et... Lire la suite >

La légende du romarin

La légende veut que, quand l’étoile de Bethléem est apparue dans le ciel à la naissance de Jésus, les végétaux ont pu prendre la parole. Chacun voulut alors démontrer que c’était lui qui pouvait le mieux servir le nouveau petit roi et sa famille. «Je peux très bien les servir, dit le dattier. Avec mes longues frondes, j’offre une ombre bienfaisante lors des journées torrides. De plus, mes fruits délicieux, frais ou séchés, les nourriront durant toute l’année. C’est certainement moi qui serai le plus utile!»   «Vous vous trompez, répondit la canne à sucre. C’est de loin moi qui serai la plus utile à Jésus et à ses parents. Avec ma sève si sucrée, on peut faire des bonbons qui feront sourire le petit, des boissons douces pour étancher sa soif et des pâtes à tartiner sucrées pour beurrer son pain. Il est évident que c’est moi qui serai la plus utile!»   «Vous avez tort tous les deux!... Lire la suite >

Le romarin comme sapin de Noël

Vous avez sans doute vu, dans une jardinerie ou même un supermarché ou grande surface, de petits sapins de Noël en pot qui sont en fait des plantes de romarin (Rosmarinus officinalis). Comme les feuilles du romarin sont comme des aiguilles, que l’arôme sublime qu’il dégage est presque coniférien et que, de plus, on l’a taillé pour lui donner un port pyramidal, la plante est un véritable sosie d’un sapin de Noël… mais un sosie aux «aiguilles» comestibles. Quelle bonne idée pour la décoration du temps des Fêtes! Sauf que… très peu de ces sapins romarins vendus en novembre ou au début de décembre survivent jusqu’à Noël. D’ailleurs, la plupart sont déjà mal en point au magasin. Le pour et le contre du «romarin d’intérieur» Il faut savoir d’avance que le romarin ne fait pas une très bonne plante d’intérieur. Dans son milieu naturel, soit autour de la Méditerranée, il serait au plein soleil et au frais mais pas au... Lire la suite >

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