Vous ne l’avez peut-être pas remarqué, mais certains insectes qui infestent les plantes d’intérieur ont été plus tranquilles depuis quelque temps. En effet, quand les jours sont courts, donc à partir du milieu de l’automne, ils entrent en diapause, un genre de semi-dormance et peuvent même sembler être disparus. D’autres insectes continuent de rester actifs même quand les jours sont courts, mais à un niveau bien inférieur que l’été. Mais quand les jours rallongent, les deux groupes se réactivent et commencent à se reproduire abondamment. Or, même aussi tôt que la fin de janvier, les jours rallongent perceptiblement et, peu à peu, selon l’espèce, les ennemis de nos plantes se remettront à l’œuvre. À partir du début mars, ils seront tous bien réveillés… et affamés. Il s’agit d’insectes comme : Les pucerons, les sciarides (mouches de terreau) et les thrips, par contre, ne semblent pas ralentir l’hiver. Ils sont aussi actifs en janvier qu’en juillet! Il faut donc garder l’œil ouvert pour ces... Lire la suite >
Les petites poussières qui bougent sur nos plantes d’intérieur sont des araignées rouges. Photo: gardeningheavn.com L’araignée rouge (aussi appelée mite araignée ou tétranyque à deux points, Tetranychus urticae) est omniprésente: dans la nature l’été et sur nos plantes d’intérieur l’hiver. Malgré son nom commun, il ne s’agit pas d’une araignée, mais d’un lointain parent, un type d’acarien ou mite. Il s’agit d’un parasite minuscule qu’on voit à peine à l’œil nu et qui ressemble à une poussière, mais une poussière qui bouge. Il faut une loupe pour bien la voir. Malgré ce que son nom laisse entendre, elle est rarement rouge, mais plutôt beige ou verdâtre et souvent (mais pas toujours) marquée de 2 points foncés. L’araignée rouge cause des dommages aux plantes en perçant les feuilles et les tiges pour aspirer leur sève. Cela provoque, en premier lieu, un jaunissement faible, mais généralisé. Pour les détecter à ce stade, placez une feuille blanche sous la plante et tapotez. Si vous voyez... Lire la suite >
Le petit acarien qu’on appelle araignée rouge n’est ni rouge (ou seulement très rarement) ni une araignée. On l’appelle «araignée» parce qu’il tisse des toiles fines quand il est présent en grand nombre. Et si parfois elle rougit à l’automne, sa coloration est génération plus anodine (beige, verdâtre, etc.) le reste de l’année. Il y a en fait plusieurs acariens qu’on appelle communément araignées rouges. Le tétranyque à deux points (Tetranychus urticae), qui infeste à la fois les plantes d’intérieur et de jardin, est le plus connu, mais il y en a plusieurs autres petits acariens avec une mode de vie semblable: le tétranyque de l’épinette (Oligonychus ununguis), qui préfère les épinettes, les pins et les autres conifères à aiguilles, l’acarien rouge des pomacées (Panonychus ulmi), plus courant sur les fruitiers, et plusieurs autres. On voit souvent les araignées rouges sur les tomates ou les courges ou encore, les haies de thuyas et les rosiers, mais en fait, la gamme... Lire la suite >
L’araignée rouge (ou tétranyque à deux points, Tetranychus urticae) est omniprésente: dans la nature l’été et sur nos plantes d’intérieur l’hiver. Malgré son nom commun, elle n’est pas une araignée, mais un autre type d’acarien. Il s’agit d’un parasite minuscule qu’on voit à peine à l’œil nu. Elle ressemble alors à une poussière, mais une poussière qui bouge. Il faut une loupe pour bien la voir. Elle peut être rouge, comme le nom le suggère, mais aussi beige ou verdâtre et est souvent (mais pas toujours) marquée de 2 points foncés. L’araignée rouge cause des dommages aux plantes en perçant les feuilles et les tiges pour aspirer leur sève. Cela provoque, en premier lieu, un jaunissement généralisé. Pour les détecter à ce stade, placez une feuille blanche sous la plante et tapotez. Si vous voyez des poussières qui bougent sur la feuille, vous saurez qu’elle est présente. Quand il y en vraiment beaucoup, on voit des fils rappelant des fils d’araignées... Lire la suite >