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J’ai tué mon romarin: une véritable histoire de crime et de confession

Le jardinier paresseux révèle son côté sombre dans cette triste histoire sur la façon dont l’inattention et la négligence ont conduit à la mort tragique d’une plante adorée. Par Larry Hodgson Oui, j’ai tué mon romarin chéri, Rosi. Salvia rosmarinus, alias Rosmarinus officinalis, si vous préférez. C’est une mort toute récente, plus tôt ce printemps. Nous étions ensemble depuis 13 ans, une relation fidèle et aimante. Je l’ai arrosé, fertilisé, taillé jusqu’à ce qu’il ressemble à un bonsaï tordu. Et il a donné abondamment de ses feuilles en forme d’aiguilles au parfum délicieusement coniférien. Je doute que je puisse un jour manger à nouveau de l’agneau sans fondre en larmes. Quelle tragédie! Pas la plante la plus facile à maintenir! Je dois dire, cependant, que Rosi ne m’a jamais facilité la tâche. Dans les premières années, le garder en vie était tout un combat. Pas en plein air, toutefois, où il passait l’été; il était toujours très bien sur ma terrasse au... Lire la suite >

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