Pas toujours nécessaire de réagir
La première question Ă se poser lorsqu’on se trouve devant un problème de parasite ou de maladie est: est-ce que ce problème est majeur ou mineur? Si le problème est majeur, si toute la plante risque d’y passer, s’il risque de s’étendre Ă d’autres vĂ©gĂ©taux, bien sĂ»r, il faut agir et sans tarder (en utilisant la mĂ©thode la plus douce possible, bien sĂ»r!) Si le problème n’affectera pas la survie Ă long terme de la plante ni son utilitĂ©, il n’y a pas lieu d’intervenir. Par exemple, quand le blanc (oĂ¯dium) infeste le feuillage en fin de saison au moment oĂ¹ la plante est Ă la veille d’entrer en dormance de toute façon, quand il y a une seule chenille sur la plante, quand il s’agit tout simplement de quelques taches sur les feuilles infĂ©rieures, etc. Rappelez-vous de la règle des 15 pas : si vous ne voyez pas le «problème» Ă 15 pas de la plante, il n’est probablement pas nĂ©cessaire... Lire la suite >