Le dur labeur d’un jardinier paresseux
J’ai, en quelque sorte, hérité du jardin de mon père qui est maintenant celui de ma belle-mère. Je suis devenu le jardinier de la femme du jardinier paresseux. Quand je me promène dans son jardin, j’observe tout ce qui s’y passe plus attentivement qu’avant. Je songe aussi à ce que je voudrais modifier. Il y a un endroit où un géranium a tout envahi en se ressemant un peu partout; il s’agit d’un ‘Jester’s Jacket’ (ce n’est pas une blague, une veste de bouffon, qui nous a joué un vilain tour). À un autre endroit, la luminosité a changé après qu’une épinette malade a été abattue. C’est beaucoup de choses à penser, à planifier, à réaliser. Être un jardinier paresseux, ce n’est pas toujours facile! Parfois même, c’est beaucoup de travail! Comme le disait si bien le poète américain Walt Whitman : « Est-ce que je me contredis ?Très bien, alors je me contredis,(Je suis vaste, je contiens des multitudes.) » Un jardin... Lire la suite >