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Dans le jardin de mon père

Père et fils dans le jardin
Avec mon père dans son jardin.

Je me suis récemment trouvé seul dans le jardin de mon père, pour la première fois depuis qu’il nous a quittés. J’ai alors ressenti un énorme poids sur mes épaules, car j’ai maintenant la responsabilité de ce jardin. Que faire pour identifier toutes ces plantes? J’en connais plusieurs, bien sûr, mais j’avais l’habitude, comme un enfant, de demander à mon père : «C’est quoi ça?». 

Pour les plantes d’intérieur, j’avais davantage prévu le coup! On avait déjà passé une fin de semaine à toutes les identifier avec de petites étiquettes. Un beau moment entre père et fils! J’avais l’habitude de donner des drôles de noms à ses plantes pour le taquiner, lui qui avait tant de rigueur. Ainsi, il y a «Creton», «l’Arbre de cactus» et «Ninja» (je ne sais toujours pas comment j’en suis arrivé à appeler une plante «Ninja», ni de quelle plante il s’agit, sauf que ça agaçait mon père, et ça me faisait rire).

Les plantes d’intérieurs avant tout

Avant que sa carrière ne débute, mon père était déjà passionné par les plantes d’intérieur. Ses premiers écrits autopubliés, À fleur de pot et Houseplant Magazine, étaient par ailleurs des bulletins sur les plantes d’intérieur. Il a même écrit un livre jamais publié sur la culture des plantes sous éclairage artificiel, une vraie brique qui a précédé Les vivaces, son premier livre publié chez Broquet. Il m’a déjà raconté qu’il avait commencé à écrire sur le jardinage en général parce que les plantes d’intérieur était un sujet trop niché.

Après son départ, les petits-enfants voulaient ramener chez eux quelques-unes des plantes d’intérieur de Papi, en souvenir de lui. Chacun en a choisi une ou même plusieurs. Je voyais l’inquiétude dans les yeux de leurs parents. Où mettre toutes ces plantes? Mais comment dire non? On me demandait quels soins leur donner. «Attends que le terreau soit sec avant d’arroser et donne lui beaucoup de soleil indirect» était ma réponse passe-partout. Une plante ayant perdu son étiquette est devenue un Pomponus plantus, d’ici à ce que je l’identifie. Mon père, bien sûr, aurait connu son véritable nom, l’histoire de sa culture, le sens de son nom latin, ses besoins, etc.

Larry et Mathieu avec des t-shirts de chien
Tel père, tel fils?

Un legs énorme

En écrivant ceci, je suis entouré de sa bibliothèque, une collection de centaines et peut-être même de milliers de livres sur l’horticulture et la botanique, qu’il a commencée il y a une quarantaine d’années. Comment est-ce que je vais absorber tout ce savoir? Ça me prendrait des années pour lire tout ça. Ce qui me rassure un peu, c’est que mon père m’a avoué récemment qu’il n’avait pas lu systématiquement tous ces livres, mais qu’il s’en servait plutôt comme ouvrages de référence! Ouf! Heureusement, j’ai du temps devant moi, et j’ai bien l’intention de faire en sorte que le Jardinier paresseux me survive à moi aussi. Je ne sais pas si les blogues existeront encore à ce moment-là, ou si les robots auront pris notre place. Au moins, ils pourront toujours se référer aux écrits de mon père pour cultiver leurs jardins.

Je sais que si j’ai des questions horticoles, je peux me référer à son blogue, à ses milliers d’articles ou à un de ses nombreux livres. Mais si j’ai des questions sur la vie, je fais quoi? J’ose croire que les réponses sont quelque part, en dedans de moi. Que je suis devenu la personne que je suis grâce à lui (et à ma mère aussi… non, je ne t’ai pas oubliée maman, je disais juste ça pour l’effet dramatique!).

Des débuts houleux

Je n’étais pas destiné à être blogueur. J’étais un adolescent et un jeune adulte plus turbulent que ne l’aurait souhaité mon père. Je voyais bien que ça l’attristait par moments. Il a bien essayé de m’encourager à le suivre dans son domaine. L’été, il m’est arrivé de travailler dans son bureau: classement, montage vidéo, recherche. (Je me souviens d’un été où, dans le cadre de sa recherche pour son livre sur les jardins du Canada, je devais téléphoner à des organismes et des jardins connus. J’étais tellement gêné!) J’ai essayé, d’une certaine façon, de suivre ses traces.

Je m’imaginais aussi comme futur auteur. J’ai étudié en langues et lettres au Cégep (où j’ai passé plus de temps dans les bars que dans les salles de cours), et je me suis inscrit en littérature anglaise à l’Université Laval. Malgré mes bonnes notes et l’encouragement de mes professeurs pour poursuivre une carrière en littérature, passer mes journées dans des salles de classe sans fenêtres m’était insupportable. Je crois que mon père, sans le vouloir, m’avait tellement fait passer de temps dehors dans son jardin que j’étais devenu incapable de me retrouver longtemps à l’intérieur sans ressentir une profonde exaspération que seule la nature pouvait soulager.

Larry tient Mathieu dans ses bras, bébé
Larry et Mathieu.

Une jeunesse dans un jardin

Enfant, je passais mes journées à jouer à l’extérieur. Après le déjeuner, mon père me foutait à la porte en me disant : «Reviens pour le dîner!». Ensuite : «Reviens pour le souper!» et finalement : «Reviens à la noirceur!». Je me souviens qu’une journée d’hiver, alors que je devais avoir quatre ans, mon père m’avait envoyé dans notre cour arrière (clôturée, bien sûr), avec la consigne de ne pas le déranger. Il m’a raconté qu’après un certain temps, je m’étais mis à crier «Papa! Papa!», et qu’il m’avait retrouvé, suspendu à l’envers, le pied pris dans la fourche du lilas de notre jardin.

Apparemment, j’avais essayé de grimper dans l’arbre afin de me rendre sur le toit du garage pour arriver à m’évader. Mon père s’est senti mal, je crois, mais pas si mal que ça puisque j’ai continué à passer mes journées dehors. Il croyait fermement que les enfants devaient apprendre à se débrouiller tout seuls et qu’une certaine dose de malice était normale et même souhaitable.

Un amant de la nature

Des années plus tard, malgré mon intention de devenir un auteur comme mon père, je me retrouvais le plus souvent dehors, dans un jardin, un parc, ou en pleine nature. Pendant quelques années, je produisais des légumes que je vendais à «une clientèle sélecte» (amis et famille!) à Québec. En même temps, j’avais un emploi à temps partiel dans une mini-ferme. Ma responsabilité était de nourrir les animaux qui s’y trouvaient. Les moutons m’adoraient, les vaches ne voulaient rien savoir de moi, et les dindons, quels trous du…!

Mathieu câline une chèvre
Mathieu et les chèvres: des âmes sœurs.

Mais mon coup de cœur était pour les chèvres. J’ai d’ailleurs travaillé en Suisse durant un été, dans un alpage où on produisait du fromage. Ma tâche première était d’aller chercher les chèvres dans la montagne, aux aurores, afin de les ramener à la ferme pour la traite. Si vous connaissez les chèvres, vous comprendrez que ce n’est pas une mince tâche. Ce sont des bêtes à la fois attachantes et désagréables, qui me rappellent moi-même.

Un autre été, dans l’Ouest canadien, mon emploi consistait à planter des arbres… et à en abattre. Je suis donc tombé dans l’aménagement paysager par la force des choses. Passé de manœuvre à chef d’équipe, puis à chargé de projets en quelques années, mon travail préféré était la conception de jardins. J’adorais surtout le design de plantation. J’y passais beaucoup trop de temps, dépassant souvent le budget qui m’était alloué. Vous l’aurez sans doute compris: le fil conducteur de tous ces emplois est que je me retrouvais inévitablement les mains dans la terre et les vêtements pleins de bouette.

Traces de pas dans la neige
Photo: HayDmitriy, create.vista.com.

Jardinier avant tout

Je demeure plus un jardinier qu’un auteur, contrairement à mon père, qui était un homme de lettres avant tout. Avec les années, je me suis assagi. Je n’ai plus la fougue de mes 20 ans, ni même de mes 30 ans! Il m’est maintenant possible d’être assis à un bureau pendant plusieurs heures sans déprimer, mais non sans me lever aux 20 minutes pour me dégourdir les jambes et me changer les idées.

Je sais maintenant que même si mon parcours a été tortueux, et que mon père a parfois douté de moi, il était fier de celui que je suis devenu et content que je prenne le relais de son blogue. Sans faire exprès, je me suis rendu à la même destination que lui, en empruntant un tout autre trajet. Je ne chausserai pas ses souliers, parce que personne ne pourrait prendre sa place. Je tracerai plutôt mon propre chemin, à côté du sien. Comme s’il était avec moi, même s’il ne l’est plus.

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commentaire sur "Dans le jardin de mon père"

  1. Mais il sera toujours avec vous, rien que son souvenir sa passion son amour vous le rappelleront à chaque instant. Bon courage et félicitations pour votre parcours. Vive lui. Bises à votre chère maman.
    Françoise en France

  2. Un plaisir de vous lire. Bonne continuation.

  3. Votre témoignage est très touchant. C’est certain que votre père sera toujours là, il est en vous. Belle continuation

  4. Un très beau texte touchant. Votre père est sûrement très fier!

  5. Très beau et émouvant.

  6. Quel texte touchant! Il te manque, il nous manque, il nous manquera.
    Bonne chance Mathieu et mes salutations à ta maman pour qui la perte de Larry doit tellement être douleureuse. Heureusement, le temps arrange les choses mais on ne le croit pas quand la douleur est trop vivre.
    Tendresse et compassion à vous deux et à toute votre famille ????

  7. Quel texte touchant!

  8. Votre papa serait très fier de vous. Je dis toujours ceci ?Parti mais jamais oublier?Votre papa sera toujours avec vous dans votre coeur et vos pensées.

  9. Votre papa serait très fier de vous. Je dis toujours ceci ?Parti mais jamais oublier?Votre papa sera toujours avec vous dans votre coeur et vos pensées.

  10. “Je ne chausserai pas ses souliers, parce que personne ne pourrait prendre sa place.”

    Mais les vôtres souliers, Mathieu, comme ceux de Félix Leclerc, “ont beaucoup voyagé” et dans “le jardin de votre père les lilas sont fleuris .”
    Voilà de quoi faire une belle chanson d’automne, mélancolique, mais aussi pleine d’espoir. et de reconnaissance.
    Nous sommes sûrs que la relève sera assurée et que nous passerons encore de beaux moments jardiniers inspirés par le souvenir de votre père et de sa vie bien remplie.

    PARTAGER :

  11. Merci de ce beau témoignage émouvant!

  12. Merci de poursuivre l’œuvre de votre père. Vous le faites très bien. Ne vous inquiétez pas!
    Le début de ce texte m’a fait sourire. La génétique a fait son chemin on dirait! ??
    Bonne continuation!

  13. Quel beau témoignage,votre père est sûrement fier de vous.Poursuivre l’oeuvre De votre père est un gros cadeau que vous nous faites et le personnaliser est tout en votre honneur! Longue vie pour votre projet.

  14. Votre texte est très émouvant, c’est avec plaisir que nous continuerons à vous lire, bon courage pour vous tous. Les petits enfants auront un agréable souvenir de leur papi.

  15. Quel merveilleux hommage vous lui rendez par cette publication.
    Il le saura c’est certain, quelques oiseaux, quelques étoiles vont lui porter ce message.

  16. Bonjour Mathieu,
    Cela augure très bien pour la suite. Une belle plume, très agréable à lire, BRAVO! C’est avec un grand plaisir que je vous lirai. Que l’aventure commence ??, fils du jardinier paresseux….

  17. Quel plaisir de vous lire ce matin. C’est comme un baume sur notre désarroi à tous d’avoir perdu celui qui accompagnait nos journées en la commençant par son petit mot matinal. Merci d’être là.

  18. Je partage ce vide et une grande tristesse.
    Je vous remercie de continuer à nous partager ce savoir.

  19. Merci, merci de prendre sa relève. Je vous sens tout aussi génereux que lui qui est en vous dorénavant. Bonne et belle continuation!

  20. Il faut être soi!
    Personne n’a le droit de vous demander d’être la copie de votre père.
    Vous avez une belle plume cher Mathieu!

  21. Texte très touchant. Effectivement ne plus pouvoir discuter de la vie avec son père après sa mort laisse un vide. Chacun trouve une manière de garder un fil avec notre papa. Le Blog est probablement le vôtre. Bonne chance!

  22. Les voyages forment la jeunesse. Et que l’aventure commence…Allons-y!

  23. Merci de poursuivre!!

  24. C’est un plaisir de vous lire ? votre texte est très touchant ?

  25. C’est un plaisir de vous lire ? votre texte est très touchant ?

  26. J’ai connu votre père avec son émission à télé mag et ensuite sur son blog. Un beau cadeau. Je vous remercie de poursuivre dans le même domaine, vos écrits sont tellement utiles, bravo! Une belle continuité à votre façon Mathieu!

  27. Bonjour,
    La disparition, annoncée par lui, de votre père laisse un vide immense pour vous bien sûr mais aussi pour nous qui ne le connaissons qu’à travers son blog.
    Quel que soit le choix que vous ferez dans les semaines à venir de poursuivre ou non son œuvre, soyez-en vivement remercié.
    Si vous poursuivez, je vous indique pour vos prochains articles que ds le sud-ouest de la France du côté de Bordeaux (vignoble bien connu même chez vous), il fait encore 20 degrés ce 30 octobre. Donc pas nécessaire de nous parler de l’hiver, la neige ou le blizzard.

    Mais le froid viendra car cette année ou la prochaine seront forcément glaciales ? en Europe pour que nous nous obliger a nous engager ds une nouvelle guerre mondiale contre la Russie et ses amis (de près ou de loin) pour l’accès aux énergies à un prix acceptable ainsi qu’au blé ukrainien.
    Bien à vous.

  28. Merci, Matthieu pour ce témoignage. Votre sincérité captive l’attention. Je n’oublierai pas votre père, pas plus que vous, car il a teinté nos vies. C’était un jardinier, c’était un écrivain et c’était un merveilleux pédagogue. Vous aussi. Alors, allez-y avec tout votre coeur et votre savoir. Nous sommes là, à vous suivre… Bonne continuité et merci de reprendre la houe…

  29. Bonjour,
    La disparition, annoncée par lui, de votre père laisse un vide immense pour vous bien sûr mais aussi pour nous qui ne le connaissons qu’à travers son blog.
    Quel que soit le choix que vous ferez dans les semaines à venir de poursuivre ou non son œuvre, soyez-en vivement remercié.
    Si vous poursuivez, je vous indique pour vos prochains articles que ds le sud-ouest de la France du côté de Bordeaux (vignoble bien connu même chez vous), il fait encore 20 degrés ce 30 octobre. Donc pas nécessaire de nous parler de l’hiver, la neige ou le blizzard.

    Mais le froid viendra car cette année ou la prochaine seront forcément glaciales ? en Europe pour que nous nous obliger a nous engager ds une nouvelle guerre mondiale contre la Russie et ses amis (de près ou de loin) pour l’accès aux énergies à un prix acceptable ainsi qu’au blé ukrainien.
    Bien à vous.

  30. Quel beau texte!

  31. Le jardinage nous rattrape toujours Mathieu…

    Le Jardinier stratégique

  32. Vous avez vous aussi tout un parcours que vous nous résumez avec sincérité et humour! Je réentends certaines inflexions du Jardinier Paresseux en vous lisant. Votre message est vrai et touchant. Merci, Matthieu Hodgson, de prendre la suite de votre père et de nous faire mieux connaître toutes ces plantes.

  33. Quelle belle histoire. Beau témoignage. Bonne chance pour la continuité. J’ai quelques livres de votre papa. Reposez en paix M. Larry.

  34. Je n’ai pas l’habitude de poster des commentaires sur les blogs que je suis. Je ne le fais que rarement, lorsque je suis particulièrement intéressée ou émue. Et c’est le cas depuis l’annonce du décès de votre père. J’espère sincèrement que vous continuerez à nous envoyer des nouvelles, petites ou grandes, de vos découvertes dans le jardin de votre père ou auprès de ses plantes d’intérieur, que vous continuerez à nous parler de lui et surtout de vous avec lui. Mon histoire fait que cela me touche profondément. Merci.

  35. Quand nos parents nous ont inculqué de bons fondements, même si notre vie a été différente. Nos fondement ne nous abandonnent pas. Merci de prendre la relève et de partager.

  36. Je comprends votre désarroi. Moi aussi, j’ai de la peine d’avoir perdu mon Jardinier paresseux comme si c’était un membre de ma famille. Il m’a tant aidée, tant appris, prodiguant avec générosité son savoir et son gros bon sens. Il me manque. Merci de poursuivre son travail et de préserver son blogue. Je ne peux plus me passer de cette banque d’informations, ma première référence. Courage à vous! Condoléances et amitiés.

  37. Très beau témoignage Matjieu et merci de faire en sorte que ton père vive par ton entremise et merci de continuer à nous informer.

  38. Quel beau témoignage! Bonne continuité et il vous accompagnera dans vos projets. Merci de poursuivre, tellement intéressant et instructif.

  39. Merci pour ce témoignage émouvant, et pour la poursuite du blogue

  40. Merci pour ce beau texte. Quelle que soit votre décision je suis certaine que vous réussirez bien et que vos connaissances s’étofferont avec le temps. sympathies a toute la famille.

  41. Denise B. Québec, Qc

    Merci Mathieu. Je suis rendue à la fermeture de mes potagers pour l’hiver et à chaque moment Larry est près de moi car je lui demande ce qu’il serait préférable de faire ou bien me rappelle tout ce qu’il nous a enseigné. J’ai tellement cité le nom de ton père que ma famille et amis m’ont offert leurs sympathies. Je suis fière que son nom fasse parti de leur Vie aussi. Tu peux décharger tes épaules sur les nôtres, nous sommes en mesure de te soutenir; nos pieds sont bien ancrés dans le sol fertile cultivé grâce à mon cher Mentor. Bon courage.

  42. Mathieu, quelle belle histoire de vie! Tu es inspirant et chaque cœur ouvert à la vie, se retrouve ici et là dans ton parcours! Grâce à ce beau texte, la journée sera délicieuse et apaisante parmi les rayons du soleil et l’odeur des feuilles colorées! MERCI!

  43. Merci Mathieu pour ce bel article. Votre père sera toujours en vous avec votre propre personnalité. La pomme ne tombe jamais loin de l’arbre. Je vais vous lire au quotidien.

  44. Message touchant et belle plume…c’est difficile de perdre un être cher. XX

  45. Merci pour ce tres beau témoignage, c’est grâce à votre père que je me suis intéressée au jardinage. Mes sympathies à toute votre famille.

  46. « Élever un enfant, c’est lui donner des racines et des ailes ». Mission accomplie…. Dès la première photo, on trouve des airs de famille, et ils se concrétisent encore plus en lisant votre texte émouvant. Peu importe le voyage, l’important est de choisir le chemin qui nous convient le mieux, et de toute évidence, là aussi il y a des points communs avec votre père. J’espère que la poursuite de ce blog vous apportera autant de satisfaction qu’il nous aide à embellir paresseusement notre environnement… Et tant qu’à avoir accès à un livre jamais publié, pourquoi ne par l’éditer en version numérique pour aider à financer votre blogue? Une collaboration père-fils qui pourrait intéresser plusieurs de vos lecteurs ….

  47. C’est un très bel hommage à votre père, au chemin que vous avez parcouru et à vous-même. ne vous inquiétez pas de la grandeur des souliers à chausser, vous avez votre propre pointure et nous lisons et lirons vos billets avec tout autant de plaisir. merci de votre générosité et de votre partage.

  48. Quel beau témoignage. C’est une histoire touchante. C’est drôle de voir comment vous êtes abouti au même endroit que votre père. ?

  49. Il fait bon de vous lire. Vous avez une belle plume. Bien hâte de vous à nouveau.
    Oui, votre père Nita manquera à tous.

  50. Cher Mathieu, la pomme ne tombe jamais loin de l’arbre, vous savez. Et tous ces questionnements qui vous habitent sont légitimes. Mais, sachez que la fidélité et la confiance que les gens accordaient à votre papa ne se démentiront pas. En tout cas, en ce qui me concerne, je continuerai à marcher à vos côtés, pour apprendre à faire vivre ces merveilleux végétaux qui embellissent mon quotidien. Votre papa serait extrêmement fier de vous. Pourtant, ne prenez pas la suite de son blogue pour cette unique raison. Croyez en vos connaissances, et en ce grand talent de vulgarisateur qui vous habite. La photo de ces pas dans la neige sera bien différente, d’ici peu. Des milliers de traces parallèles s’y grefferont, pour former autant de sillons où planter les graines. Mes plus profondes sympathies, Mathieu. Bonne route !

  51. Merci, Mathieu, de prendre le relais. Vous êtes bien entouré, ce qui assure le succès de ce blogue si utile pour la communauté.

  52. Comme c’est plaisant de vous lire, merci du partage

  53. Merci à vous ! Longue vie …

  54. Merci Mathieu pour ce beau témoignage!

  55. Votre père était fier de vous, on le sentait tellement lorsque vous avez fait une beauté à son blogue. Merci de poursuivre et pour ce beau témoignage.

  56. Bonjour Mathieu,
    Comme plusieurs lecteurs du blogue, c’est ce que je lis dès mon réveil… Ce matin, votre texte m’a particulièrement touchée… En plus de votre sensibilité qui est manifeste, vous avez une très belle plume…
    Le regard que semblait porter votre père sur votre parcours quelque peu « tortueux » est compréhensible à mes yeux en tant que mère de jeunes adultes… Ce qui me réconforte souvent est de constater que malgré les choix « questionnants et incompréhensibles » que mes enfants font parfois, j’arrive souvent à percevoir la présence chez eux de valeurs qui me sont chères… Même si votre père est parti beaucoup trop jeune, il aura sûrement eu le temps d’être rassuré sur vos choix… J’espère que personnellement j’aurai encore beaucoup de temps pour les voir évoluer…
    Sachez qu’à l’instar de plusieurs lecteurs et lectrices, je vous ai déjà adopté! Et je croise les doigts pour que le blogue ait une très longue vie… PS Qui sait, peut-être que vous aurez plus rapidement que vous pensez une relève grâce aux petits enfants de votre père, ceux-ci ayant déjà débuté leurs propres jardins intérieurs!

  57. Merci pour votre texte qui fait si bien le pont entre le passé, le présent et l’avenir. Vous n’êtes pas votre père, c’est vrai, mais vos expériences, différentes, apporteront une autre dimension et couleur dans la continuité de ce blogue. Bravo!

  58. C’était très beau ce que tu as écris . C’est sure qu’il est fière de toi et qu’il te voix de là haut!!
    J’ai hâte de te lire a nouveau,
    Mes sympathies à toi et ta famille

  59. Merci à vous de prendre la relève de votre père! Vous y laisserez votre marque à votre façon avec votre couleur. Bonne continuation!

  60. Bienvenue Mathieu…..merci pour ce beau témoignage. Ça y est, on vous connaît et vous venez d’entrer dans nos maisons comme votre père. La pomme ne tombe jamais bien loin du pommier, n’est-ce pas.

  61. Inspirant.

  62. Merci, cher Mathieu, de chausser à votre tour les pantoufles du jardinier paresseux! J’espère que son hamac vous inspirera de belles chroniques!

  63. Bonjour un très bel hommage à votre papa, il sera toujours à vos côté pour vous souffler quelques conseilles, merci de continuer de partager vos émotions et vos conseilles, bisous de Belgique

  64. Beau témoignage ! Merci de poursuivre
    Vous avez une belle plume !!

  65. Bravo ! Un bel héritage que tu as reçu et merci de partager avec nous ta suite.
    Josée

  66. Il laisse un gros vide et vous êtes là meilleur personne pour continuer! Bon courage, il serait fier de vous!!

  67. Cher Mathieu,
    Quel bel hommage à votre père. Oui il est certainement fier de vous, n’en doutez jamais. Cet homme m’a permis de réaliser de magnifiques platebandes en y introduisant des plantes vivaces qui différaient de toutes celles qu’on trouvait partout. J’adorais ses livres et m’empressais de me les procurer dès la parution pour les dévorer et transformer mes aménagements à l’infini. Il savait allier mes deux passions: la lecture et le jardinage. De plus, il a aussi permis, avec ses trucs accessibles à tous, de permettre à une mère monoparentale de deux ados, travaillant sur un horaire atypique, de continuer à s’évader parmi les plantes, les papillons et les oiseaux de mon jardin. Bonne continuité Mathieu, vous écrivez très bien et il vous a certainement bien préparé à la suite.
    Merci

  68. Ton texte est vraiment très touchant, Mathieu. Il y a des souvenirs d’enfance qu’on ne pourra jamais oublier. C’est magnifique de te voir prendre la relève de ton père. Tu peux être fier de toi autant que de lui. Au plaisir de te lire encore…

  69. Gros câlin et je suis sûr que vous trouverez votre place ( à mon avis , vous l’avez déjà trouvé…) .

  70. Bonjour Mathieu, quel beau texte qui rend hommage à votre père et nous permet de mieux vous connaître. Je suis sûre qu’avec le temps et les connaissances que vous avez déjà dans le domaine de l’horticulture, vous deviendrez un excellent blogueur que je continuerai à lire comme je le fais depuis quelques années. Comme vous dites, tel père, tel fils. Bonne continuation.

  71. Bel et tendre hommage à votre papa et son savoir. Vous êtes aussi bienveillant que votre papa. Il nous a énormément apporté, chaque article était un rayon de soleil dans ma vie… En France nous ne pouvons nous procurer ses livres, ni faire de don, c’est dommage. Sachez que nous sommes de tout coeur avec vous et votre famille. Bon courage

  72. Je joins ma voix aux autres lecteurs ce matin pour te dire merci, Mathieu, pour ce texte très émouvant qui nous fait beaucoup de bien! Avec tout le bagage d’expérience et de vie que ton père t’a légué (et ta mère aussi, assurément :)), tu as tout ce qu’il faut pour perpétrer ce merveilleux blogue. Tu as une très belle plume, empreinte de sincérité et d’humilité, et ponctuée de belles touches d’humour! Tu sais aussi que tu pourras toujours compter sur les précieux collaborateurs dont vous avez su vous entourer, ton père et toi, au fil des années. Ils et elles pourront sûrement t’aider à mettre des noms sur toutes ces plantes anonymes (si tu tiens absolument à remplacer les noms rigolos que vous leur avez donnés :)) et à nous transmettre leur savoir et expertise à travers ce blogue. Bonne continuité!!

  73. Un très beau message et un beau texte que j’ai lu jusqu’à la dernière ligne. Vous allez continuer le travail commencé par votre père et je vous lirai avec grand intérêt. Merci.

  74. Merci pour ce beau témoignage! Je sais que vous serez à la hauteur pour la relève.

  75. Quel beau message, quel belle relations père fils, je suis sûr qu’il vous regarde d’en haut et vous admire, ne soyez pas inquiet, dans vos moments d’incertitude, il vous guidera, écoutez votre cœur
    Bonne continuité Mathieu

  76. Votre papa nous manque déjà, mais ouf! Vous êtes là. Quel réconfort!

  77. Vous êtes très agréable à lire, une plume comme votre père!
    Merci de continuer son lègue.

  78. Quel beau récit de vie. Longue vie au blogue du jardinier paresseux.

  79. ? ? ?

  80. Ce sont des coeur et non des points d’interrogations….Amour et énergie positive.

  81. Quel beau témoignage, la pomme ne tombe jamais loin de l’arbre. Je suis certaine que ton père était très fier de toi. Les hommes de ce temps cachent souvent leurs sentiments.
    Merci de continuer son œuvre, c’est difficile de faire la compétition avec un tel amoureux des plantes, mais je pense que ton père a semé une bonne graine et que tu sauras lui faire honneur en gardant son enthousiasme et en y ajoutant ton désir de suivre sa trace.
    Bonne chance, je suis certaine que le fils aimant que tu es saura perpétuer son œuvre sans la copier mais en l’adaptant à tes forces.

  82. Mathieu, très beau témoignage de votre relation avec votre père.

  83. Merci pour ce beau témoignage! La pomme n’est pas tombée loin de l’arbre… Longue vie à ce blogue en belle compagnie!

  84. Quel beau témoignage que vous venez de lui faire il serait super fier de vous alors bonne chance dans vos futurs projets et une pensée pour votre mère aussi.

  85. Bonjour Mathieu, je retrouve votre père dans votre écriture et vous lui ressemblez tellement, deux gouttes d’eau. Merci d’avoir repris son blogue que j’adorais avec lui et que j’adorerais avec vous. J’ai eu du chagrin lorsque j’ai su qu’il n’était plus et je vous souhaite mes sincères condoléances et bonne continuité dans son oeuvre qui est maintenant la vôtre que je ne manquerai pas de suivre assidûment. Une jardinière paresseuse

  86. Que de tendresse dans ces mots…. Merci pour ces images, cette intimité père fils, ce passage de vie obligé mais si important à vivre et à se laisser porter par…

  87. Mon cher Mathieu, je suis de tout cœur avec vous et vous souhaite à vous et vos proches mes plus sincères condoléances. Je suis heureux d’apprendre que vous avez l’intention de maintenir vivante l’œuvre de votre père. À mon humble avis, c’est le plus bel hommage que vous puissiez lui faire, mis à part suivre ses traces. Soyez assuré que je vous suivrai avec assiduité. Bonne Chance pour la suite, Yves.

  88. Cher Mathieu,
    votre père sera toujours vivant par son jardin et par son savoir, vivant pour vous, vivant pour moi et mes enfants qui sommes depuis longtemps ses fidèles lecteurs. Je suis moi-même à ce tournant de ma vie où je dois penser à laisser mes deux jardins à mes enfants et votre réflexion me touche beaucoup. L’art, car c’en est un, du jardin repose sur des traditions millénaires, nous en sommes les héritiers et grâce à Larry, nous sommes chaque jour un peu meilleurs, rappelant la phrase d’Emerson: ” je suis un vieil homme, mais chaque jour un jeune jardinier” Merci Mathieu, et bonne route,
    Georges

  89. Très bel hommage de ton père Mathieu ! Et…merci de poursuivre son oeuvre…bien entendu, selon ton propre chemin.

  90. En lisant ton texte à mon chum, je n’ai pu retenir mes sanglots….

  91. Oh c’est magnifique, je te souhaite bon courage pour tout.
    Merci de reprendre le flambeau.

  92. Bravo!
    Quel beau témoignage sur votre père , votre parcours et votre amour pour lui .
    C’est tellement honnête et dit avec coeur.
    Je vous souhaite de poursuivre ses traces mais soyez vous-même et faites le en y apportant votre couleur à vous. C’est déjà passionnant de vous lire !

  93. Ton père écrivait très bien et j avoue que tout comme les plantes qui se reproduisent pour sauver leur règne….
    Hé bien…la reproduction de ton père a bien fonctionnée !

    Tu as une écriture aussi captivante et touchante que ton père, tu m as arraché une petite larme…peut etre deux !

    Belle continuation Mathieu !

  94. Cher Mathieu, votre père laisse dans son sillon une qualité exceptionnelle d’adeptes tant dans leur plume que dans leur attachement à l’horticulture qui vous motivera assurément à poursuivre une œuvre salutaire dans une époque trouble où l’angoisse écologique nous envahit. Souhaitons que tous ces témoignages très sentis vous accompagnent dans les jours de doutes où les ambitions fanent comme feuilles d’automne en gardant l’espoir du renouveau qui se prépare dans le secret de la froidure. Au plaisir de vous lire, Claudette

  95. Merci Mathieu pour ce beau témoignage plein d’émotions !
    La relève est assurée !

  96. Merci pour ce beau texte, vous lui ressemblez, c’est certain. J’ai une peine sincère en lisant votre blog, je l’aimais beaucoup. Je me souviens d’avoir rencontré votre père lors de ses nombreuses conférences, quel être sympathique et simple d’approche avec une connaissance extrême de son sujet qu’il nous transmettait avec tant d’humour et de simplicité.
    J’ai perdu ma mère il y a 4 ans et le deuil possède à lui seul, comme les plantes, des phases uniques et incontournables. Bonne chance à vous, votre mère et votre famille sur ce nouveau chemin de decouvertes.

    Sylvie

  97. Votre père avait bien raison d’être fier de vous (et peut-être qu’il vous regarde avec bonheur maintenant, entouré des plus merveilleuses plantes qu’il n’avait jamais vues?). Vous avez une plume digne de la sienne, et la vie vous a lentement porté à devenir ce que vous êtes aujourd’hui: exactement là où il faut pour poursuivre l’œuvre (gigantesque) de votre papa. Ce fut un bonheur de vous connaître davantage ce matin. Longue vie à vos chroniques! Et mes plus sincères sympathies.

  98. Je reconnais dans votre texte l’ouverture et la fraîcheur qui étaient la marque de commerce de votre père, et qui rendaient ses écrits si intéressants! Vous avez déjà votre touche personnelle, et déjà toute une expérience de vie. Je suis déjà une fan finie du jardinier paresseux et cela ravive encore plus mon intérêt.

  99. Merci Mathieu pour ce beau texte qui nous permet de mieux te connaître. C’est normal de ne pas avoir toutes les réponses, on peut continuer d’apprendre ensemble grâce à ce blogue.

    PS J’adore aussi les chèvres

  100. Très beau texte du coeur, je te souhaite une bonne continuation. Au plaisir de te lire à nouveau.

  101. Votre texte est touchant ,transparent .
    Bonne continuation dans la lignée de votre père,merci de continuer ce blog.
    ?

  102. Bonne continuation Mathieu. La pomme ne semble pas être tombée très loin de l’arbre… ce site est dans mes premières lectures du matin ?

  103. Mes sincères condoléances pour le décès de votre père. Merci, Mathieu, de prendre le relais. Faîtes des articles comme vous le sentez. Ça va être bon.

  104. Au plaisir de vous lire! Vous avez une base qui est une mine d’or entre les mains alors il faut l’expérimenter et créer sa nouvelle continuité ??

  105. Merci de nous partager ce texte si touchant. Vous êtes sur votre X !

  106. La relève est assurée (?)

  107. bonjour, il faut dire une journée a la fois, ce n’est pas facile de perdre un papa merveilleux mais,, faites votre possible, et on vous liras votre chronique, bonne fin de semaine.

  108. On est avec vous Mathieu!!

  109. Il n’y a qu’une seule chose d’importante dans la vie, quel que soit l’héritage que le vie apporte: vivre selon ses convictions. Avant toute chose, laissé de cotè l’héritage de votre père et demandez vous ce que VOUS vous voulez vraiment faire. Si vous pensez que vous serez heureux en reprenant le flambeau, alors faites le. Si vous pensez que votre bonheur passe par le design de jardin, alors faites-le. Si votre bonheur passe… Alors faites-le. Il y a eu bien des communicateurs horticoles avant Larry, il y en aura bien d’autres après. Ainsi va la vie!

  110. On vas vous suivre vous avez eu un excellent guide et vous avez votre personnalité alors nous allons avoir du plaisir à vous suivre

  111. Superbe texte émouvant pour cette transmission.
    bravo et bonne continuation

  112. Cher Mathieu, vous êtes déjà à la hauteur,vous serez j’en suis certaine le digne représentant de votre lignée. ???

  113. Tellement d’accord avec les propos de M. Bertrand Dumont!
    L’important dans la vie, c’est de suivre ce que nous dicte notre coeur. Laissez le vôtre vous montrer la voie à suivre. Je suis assurée que votre père vous appuiera, peu importe le chemin que vous emprunterez pour la suite des choses. 🙂

  114. Bien aimé l’expression tracer son chemin à côté du sien. Beau, émouvant et respectueux.

  115. Tous les chemins mènent à l’homme. Poursuivez donc le vôtre, où qu’il vous mène. Le blogue de votre père est entre belles mains, un lieu d’apprentissage pour vous comme pour nous, avant tout soignez-y paresseusement l’ambiance. Comptez sur ma fréquentation assidue.

  116. BALANTA ROMERO ANA MARITZA.

    HOLA BUEN DIA !!!SOLO QUIERO DECIRLE NO DEJE QUE SU!!!!! LEGADO DESAPAREZCA PORQUE SOMOS MUCHOS LOS QUE AUN NECESITAMOS DE SUS CONSEJOS. GRACIAS !!!!.

  117. Eh bien, cher Mathieu, pour quelqu’un qui préfère la pêche, vous écrivez vraiment bien. Merci pour ce beau témoignage.

  118. Bonne continuité dans ce merveilleux travail que ton Père aimait tant. Un grand homme plein de savoir. J’ai eu la chance de voyager et de le voir à plusieurs reprises. J’adorais l’entendre parler de cette passion qui était la sienne et que je trouvais un peu semblable à la mienne. C’est une grande perte pour nous mais je vais continuer de te lire avec un grand intérêt comme je le faisait pour ton père car tu es comme lui sans te connaître tu es un passionné comme lui toutes mes condoléances à toute ta famille et bon courage à vous tous et j’ai hâte de te lire à nouveau. Nicole

  119. Je vais continuer a suivre le Jardiniêr Paresseux Pour hommage a ton pèere et pour te lire

  120. Il y a beaucoup de fraîcheur et de franchise dans votre témoignage. J’aime
    Cécile

  121. Wouah que c’est touchant votre est maintenant au dessus de nous pour suivre c’est bon conseil d’un extraordinaire jardinier paresseux bon voyage et bon courage pour la suite

  122. C’est très touchant votre texte. Sachez que nous allons continuer de vous lire. Votre père a laissé des traces et c’est sûr que ses chaussures semblent grandes à combler. Au fil du temps, vous allez prendre votre place. Et si jamais, la vie vous appelle ailleurs, je suis certaine que papa Larry vous regardera avec ce beau sourire aimant qu’il avait toujours. xxx

  123. Désolée de vous le dire…, mais dans le présent contexte du départ de notre “illustre Jardinier”, l’essentiel
    de votre propos est HORS D’ORDRE!

  124. Message à Christophe Chabot :
    Désolée de vous le dire…, mais dans le présent contexte du départ de notre « illustre Jardinier », l’essentiel
    de votre propos est HORS D’ORDRE!
    Message à Mathieu:
    Vous avez toute mon admiration! Je vous lirai toujours avec intérêt!

  125. Ouf je viens d’apprendre son décès par ce blog….?
    J’ai plusieurs de ces livres et j’ai toujours suivi ses conseils de tout cœur avec
    vous ??.

  126. Étrange émotion :c est la première fois que le départ d un illustre inconnu me touche de la sorte. Peut-être est ce parce que votre père (mari, grand-père, ami…) écrivait avec toute sa passion et que je sentais un lien vrai et une joie sincère de nous la partager, de nous partager ses connaissances et sa bienfaisante paresse. ?
    Mais ce matin, me voilà consolée un peu en vous lisant, car je retrouve le même humour taquin et la même générosité. Merci de poursuivre, dans vos propres chaussures (qui sont sûrement sales?) son oeuvre bienfaitrice.

  127. Quel beau texte. Je suis persuadé que vous saurai partager l’héritage eu votre père vous a laissé. Vous saurai diriger vos lecteurs avec toutes les connaissances que vous avez acquis avec le jardinier paresseux que nous avons tant suivi à ce jouer.

  128. Étrange émotion :c est la première fois que le départ d un illustre inconnu me touche de la sorte. Peut-être est ce parce que votre père (mari, grand-père, ami…) écrivait avec toute sa passion et que je sentais un lien vrai et une joie sincère de nous la partager, de nous partager ses connaissances et sa bienfaisante paresse. ?
    Mais ce matin, me voilà consolée un peu en vous lisant, car je retrouve le même humour taquin et la même générosité. Merci de poursuivre, dans vos propres chaussures (qui sont sûrement sales?) son oeuvre bienfaitrice.

  129. Quel article rafraîchissant! Merci de nous partager votre parcours. Il crée un lien indéniable avec nous. Au plaisir de vous lire à nouveau.

  130. Merci Mathieu pour votre mot aujourd’hui pendant votre deuil. Merci de vous faire connaître. Le temps d’admirer fait partie des actions du jardinier paresseux. Puissiez vous en cette saison d’automne, profiter du moment de régénération et de repos pour continuer votre chemin entouré d’actions de jardiniers paresseux qui savent laisser le temps et les qualités se déployer à leur rythme dans le respect.

  131. Manon (de Lanaudière)

    Un hommage très touchant et rempli d’amour à votre paternel paresseux, et quelle belle plume! Une journée à la fois petit jardinier paresseux, vous y arriverez. Et dites-vous que quoiqu’il arrive, nous serons toutes et tous derrière vous et avec vous! ?

  132. Go Mathieu, GO !!!
    Doris Gill

  133. Merci pour ce post très émouvant. Nul doute que vous possédez les gênes de la passion de votre père et que vous allez vous en sortir et continuer à nous enchanter sur ce blog comme il savait si bien le faire. Il vivra toujours dans notre souvenir et ce souvenir sera encore plus “vivant” en nous par votre intermédiaire. J’ai souri au surnoms donnés au plantes car mon mari et moi en faisons autant, et je suis certaine que nous ne sommes pas les seuls !

  134. Merci Mathieu pour ce touchant témoignage. Vous avez une belle plume, mais je peux comprendre que l’encre peut parfois s’assécher. Votre père nous avait habitués à des changements. Nous nous sommes adaptés et nous pourrons poursuivre notre adaptation selon ce que vous voudrez faire. Il est important de vous respecter dans ce processus. Merci pour votre présence.

  135. Merci Marhieu d’avoir accepté la relève, continuer un si beau projet n’est pas tâche facile. ?

  136. Merci Mathieu ça va bien se passer tu as une belle plume

  137. Bienvenue et merci ,

  138. Il est en chacune de vos cellules, ne vous inquiétez pas. Son ADN est plus fort que tout et comme lui-même était pas mal fort en la matière, le manque d’idées ne risque pas de vous atteindre. Soyez surtout patient et nous serons avec vous sans faute.

  139. J’ai connu votre père par ma mère qui faisait un très grand potager à 87 ans… j’ai ensuite suivi régulièrement votre papa et je suis aussi ma mère… un projet d’agrandissement du jardin… une vraie folie!!! Alors, Bonne route à vous Mathieu et je serai là, en fait nous serons là, à vous suivre tant qu’il vous plaira! Merci beaucoup de cette tendresse partagée!

  140. Votre père, qui vous lit de là haut, doit être fier de tout ce qu’il a fait et n’a pas fait pour vous laisser développer vos propres talents. Félicitations pour votre parcours, c’est le genre qui forge les âmes généreuses. Bonne continuation dans ce bel héritage!

  141. Bonne continuation ! J’attends la suite avec impatience…

  142. Très beau témoignage, merci de partager ewt de continuer!

  143. Je trouve que vous vous débrouillez très bien! Il est heureux que vous ne puissiez pas copier votre père puisque vous avez définitivement votre style à vous. Ayez confiance … votre père serait très fier de vous !!

  144. Quel bel hommage à votre père que j’ai connu lors de ses conférences qu’il venait nous donner à Matane. Il a été notre accompagnateur quand nous sommes allés en Thaïlande avec le Groupe Voyages Québec. Il était d’une patience infinie. Ses livres vont continuer de me suivre pour longtemps encore.

  145. Merci à vous de continuer l’oeuvre de votre Papa.

  146. Bravo Mathieu,
    votre plume est magnifique et très émouvante
    Je reconnais l’humour de votre père et son côté taquin dans votre personnalité
    Il a su vous transmettre la passion de la nature .
    Bonne route , il sera toujours près de vous pour vous guider
    Merci beaucoup pour votre merveilleux blog.

  147. Votre père vous accompagnera et ce sera, alors vous serez deux à accomplir ce merveilleux travail! Au plaisir de vous suivre!

  148. Un petit mot qui j’espère réchauffera votre cœur…
    Les étoiles ne sont peut-être pas des étoiles, mais plutôt des ouvertures dans le ciel… d’où l’amour de nos disparus se déverse pour nous faire savoir qu’ils sont heureux ?

  149. Belle présentation Mathieu! J’étais certaine que nous resterions entre bonne main mais là l’humour est là aussi,,!! Merci

  150. Comme je suis triste d’apprendre le décès de votre père; cependant, j’ai adoré votre touchant témoignage. En horticulture, j’aimais beaucoup l’approche de votre père; soit le fait que ce soit simple. Je vous donc offre mes très sincères condoléances et vous souhaite une belle continuation de son œuvre.

  151. Votre père était unique…et vous suivez le même chemin !!
    Bonne route 🙂

  152. Je continuerai a vous suivre..perpetuons ensemble cette oeuvre

  153. Merci cher Mathieu d’avoir partagé si généreusement ces souvenirs personnels.Ça nous permet de comprendre un tout petit peu le vide que votre père laisse derrière lui. Grâce à tout ce qu’il vous a transmis, vous saurez relever le défi de continuer à faire vivre ce blog.Vous Nous rendez heureux à chaque jour. Merci de tout cœur. Je vais continuer à vous suivre.

  154. Sincères condoléances pour toute votre famille.

    Votre père vous a montrer la voie , son âme sera toujours présente pour vous guider.

    N’ayez pas de crainte vous avez une bonne plume , à la lecture de votre premier commentaire cela nous promet de belles prochaines lectures.

  155. Touchant
    Plein d’amour pour nos pères
    Dominique

  156. Votre article est touchant et joliment écrit! Un plaisir de vous lire!

  157. Mathieu, vous avez beaucoup plus de talent que vous ne pouvez l’imaginer. Ayez confiance, et…. courage, c’est une énorme perte que vous venez de vivre!! 🙂

  158. Votre texte est touchant.
    Merci pour ce beau partage.

  159. Mon cher Mathieu, tu ne seras pas ton père, mais bien Mathieu derrière les écrits de tes futurs blogues. Les réponses que tu trouveras aux questions de tes lecteurs seront celles de ton enseignant, de ton mentor, de ton ami, de ton paternel… mais seront livrés à la couleur et personnalité de Mathieu! Hâte de te lire 🙂

  160. Bravo cher Mathieu! Vous n’êtes pas obligé de poursuivre à la place de votre père. Je suis sûr que vous trouverez une façon de poursuivre en demeurant vous-même. Suivez votre route maintenant, c’est ce que tout père désire pour son fils. Bonne chance pour la suite et encore mes condoléances.

  161. Merci Mathieu de poursuivre l’œuvre de votre papa, à votre manière, une belle générosité!
    Je comprends la fébrilité que vous ressentez! Bravo! Bonne continuité! C’est un plaisir de vous lire!

  162. J’ai pleuré à chaudes larmes en apprenant le décès de votre père. En partie parce que j’appréciais la transmission de son savoir dans un secteur, l’horticulture, chère à mon cœur, mais aussi parce que mon père a eu la même maladie et enfin parce que mon conjoint a souffert aussi d’une maladie pulmonaire chronique et à reçu l’aide médicale à mourir en mai. Aussi, je crois comprendre ce que vous vivez vous et votre mère et je vous transmet toute ma compassion.

  163. Ouf quel témoignage d’amour, poursuivez votre route selon votre coeur avant tout, c’est ce qu’il aurait désiré et voulu pour vous car il était avant tout un homme de coeur justement ! Courage à votre mère aussi.

  164. Merci, Mathieu, pour ce partage de l’hommage que vous rendez à votre père et pour le partage de vos souvenirs et de votre peine en filigrane. Ça me touche beaucoup. Vous avez une très belle plume, une manière directe et authentique de vous exprimer, qui me donne très hâte de vous lire à nouveau. Que votre amour des plantes et ce lien spontané que vous savez établir avec vos lecteurs vous aident à traverser votre deuil.

  165. Merci pour ce moment de tendresse et d’humour!

  166. Gardez précieusement ses souvenirs dans votre esprit et dans votre cœur car se sont de merveilleux moments passés en sa compagnie. Sincère condoléance à vous et à toute votre famille. Lorsque je suis arrivé à Québec, il y a plus de 20 ans, j’ai commencé à lire ses chroniques et ses livres et cela maintenant avec tristesse ces chroniques finiront et il n’y aura plus de nouveau livre sauf si vous ou un autre Hodgson prend la relève.

  167. Cher Mathieu, vous m’avez l’air tout aussi “paresseux” que votre père, alors n’ayez crainte: malgré la peine que nous cause son départ, même annoncé, votre personnalité et votre parcours aussi chaotique qu’enrichissant vous rendent extrêmement sympathique, et c’est avec impatience et plaisir anticipé que j’attendrai vos billets.
    Pensez quand même à vous laver les mains avant de pianoter sur le clavier: je peux vous dire d’expérience que la terre, c’est enquiquinant à nettoyer entre les touches.
    À bientôt, et un grand merci.

  168. “Les morts vivent tant qu’il y a des vivants pour penser à eux.” Emile Henriot.

    “Les morts sont invisibles, ils ne sont pas absents” (Saint Augustin).

  169. Il est là Mathieu! …et nous aussi avec vous! 🙂

  170. Merci pour le magnifique témoignage ! Votre dernière phrase m’a particulièrement touchée.

  171. Je suis certaine Mathieu que vous père est très très fier de vous.
    Je continuerai à vous lire.
    Bonne continuité.

  172. Votre témoignage est teinté de votre vie avec un père près de la nature et cette nature vous en avez hérité, sûrement avec une approche différente .l’héritage est présente dans tout votre texte. Merci de continuer le chemin que votre père vous a légué ; vous y mettez votre couleur et c’est bien ainsi

  173. Jean Viglione Cloutier

    Texte très touchant, merci de nous l’avoir partagé. Je garde de votre père une très grande estime pour tous les conseils qu’il m’a donnés. Je vous souhaite Mathieu une bonne continuation.

  174. Quel beau texte !Merci de continuer le beau travail de votre père, nous avons besoin des gens comme vous ,pour nous rappeller la force des jardins,des plantes et la nature au naturel.Merci

  175. Déjà, le titre. Vous m’avez fait rire et pleurer. Bonne continuation: ses chaussures étaient grandes, mais nul doute que vous saurez les chausser.

  176. Quelle belle écriture vous avez! Vous m’avez captivé jusqu’au bout.

  177. Bonjour Mathieu, Merci pour de si beaux souvenirs. Contrairement à ce que vous croyez, vous avez une plume légère et vibrante d’écrivain. C’est une belle surprise pour moi de vous lire. J’accueillerai vos textes comme je le faisais avec ceux de votre père. La première chose que je choisis de lire le matin. Partage de passion pour le jardinage.

  178. Bonjour Mathieu. Quel beau moment j’ai passé en vous lisant. J’aime votre plume, votre sensibilité, votre humour, votre franchise, votre authenticité. Votre touchant témoignage sur votre vie m’a rappelé cette pensée : le chemin des autres ne va jamais assez loin pour soi. Vous me semblez être une personne lucide, très libre et heureuse. J’ai très hâte de vous lire à nouveau.

  179. Je me suis reconnue dans vos propos ayant moi aussi perdu ma mere lan dernier et avoir pris la décision de garder le jardin en héritage je connais ce sentiment que de ne pas en savoir autant. Merci beaucoup ce fut une agréable lecture.

  180. Bravo Mathieu de le garder vivant. Larry était loin d’être un jardinier paresseux. Ses écrits sont considérables.
    Jean-Marie Laurent, Horticulteur-formateur à Enfant d’abord, organisme

  181. Salut Mathieu!
    Tu as écrit un très beau billet qui me donnera envie de revenir te lire!
    Merci!

  182. Merci de nous partager ça, vous avez tout ce qu’il faut pour suivre les pas de votre père. Vous êtes fort. Quel privilege d avoir eu un tel père, son héritage de valeurs morales c’est extraordinaire. En sa mémoire je m’en vais arriser mes plants Bonne journée.

  183. Très touchant votre texte
    Ça nous permet de mieux connaître le père et le fils
    Longue vie à votre blogue

  184. Merci pour ce très beau partage, ça me touche beaucoup, ton père est sûrement très fier de toi et ta mère également. Bon courage.

  185. Il y a 30 ans, je lisais Fleurs, plantes et jardin en commençant par la couverture arrière : l’article du jardinier paresseux… que je ne connaissais pas mais qui me semblait bien sympathique et qui correspondait à mes valeurs. Aujourd’hui, je jardine avec mon téléphone à proximité afin de consulter Mon Jardinier Paresseux. Je pense souvent à lui, j’avais une attirance pour le jardinage et il m’a aidé à “cultiver” cette attirance… j’ai lu les autres commentaires et ils correspondent tellement à ce qu’on éprouve pour notre Larry et toi. Bonne chance Mathieu.

  186. Merci Mathieu, fils d’un géant vert, pas celui de la marque publicitaire des légumes en conserve, mais celui d’une renommée légendaire en horticulture, merci d’avoir partagé votre père avec celui qui a aussi été un père pour ses milliers d’adeptes comme jardiniers paresseux au Québec et hors du Québec. Partager son père avec autant de monde n’a pas dû être toujours évident. Mais une chose est certaine, c’est que dès vos premières lignes sur ce blogue on vous aime déjà! Si je peux me le permettre au sens figuré, vous êtes probablement sa plus belle semence. Donc merci à votre père et bien sûr à votre mère qui a aussi dû partager la présence de son conjoint avec nous tous. Vous soufflez Mathieu un vent nouveau dont votre père serait vraiment fier. Longue vie à vous sur ce blogue.

    PS : Le 10 mars dernier, votre père nous invitait à « Plantez du rouge ! » pour exprimer notre fierté du jardin et célébrer l’Année du jardin 2022. Sur l’invitation, il y avait posé un majestueux pavot rouge. Pour commémorer sa mémoire, j’invite donc tous les « jardiniers paresseux » et « jardinières paresseuses » à planter un pavot rouge dans leur jardin. Tout comme le faisait délicieusement Mathieu dans le jardin de son père, mon pavot nouvellement planté s’appellera affectueusement Larry.

  187. Merci pour ce beau texte à la mémoire de votre père. Peut être quelque part, il doit sourire dans sa barbe, malicieusement en vous lisant.
    Vous avez la graine d’écrivain en vous. Poursuivez dans cette voie aussi.

  188. Wow! J’ai eu beaucoup de plaisir à lire ton témoignage à propos de ton père et surtout à propos de toi-même! Ce n’est pas toujours évident les relations père-fils. Je me trompe peut être dans mon interprétation personnelle, mais il semble que ton père n’était pas toujours aussi présent que tu l’aurais souhaité quand tu étais plus jeune. Pas toujours évident d’avoir à partager un père qui est aussi célèbre et populaire auprès du public. Je peux dire que pour ma part que ma relation avec mon père a souvent été difficile malgré tous mes efforts. Même que parfois, cela m’a amené, bien malgré moi, a démissionner et à poursuivre ma propre voie afin d’arrêter de souffrir. Dans tous les cas, je suis content qu’avec le temps, vous semblez vous êtres rapprochés considérablement surtout vers la fin. Bravo pour avoir eu le courage de partager cette dimension très intime de ta relation avec ton père! j’ai trouvé ça très touchant! Je suis déjà accroché par tes écrits et j’ai très hâte de lire ton prochain article! Merci beaucoup!

  189. Quel témoignage rempli de tendresse. Vous êtes arrivé, non sans peine, à trouver votre propre chemin ! Je suis sûre que c’est un peu à cause des chèvres….qui, je le sais, trouvent leur propre chemin dans des endroits escarpés…je suis Suisse ! Mes condoléances et tous mes vœux pour votre futur !

  190. Très belle plume Mathieu. On lâche pas.

  191. Bravo, votre parcours est tout aussi bon et tous vos articles à date, sont différents de ceux de votre père, mais ils sont tout aussi intéressant à lire.
    Merci de poursuivre ce blog.