Le calla sur deux nouveaux timbres de Postes Canada
L’élégance du calla en fait une fleur prisée lors des mariages et d’autres grandes occasions
Postes Canada a apporté une touche raffinement à sa très populaire série sur les fleurs en émettant le 1er mars 2022 deux timbres illustrant l’élégant calla.
Natifs de l’Afrique australe, les callas (Zantedeschia) sont d’abord utilisés comme remède médicinal avant d’être reconnus partout dans le monde pour leur beauté et leur longévité. Parfois appelée lis calla, cette fleur ne s’apparente pourtant nullement au lis. Elle fait plutôt partie de la famille des Aracées, tout comme le philodendron, le petit prêcheur (Arisaema spp.) et le lis de la paix ou fleur de lune (Spathiphyllum). On voit souvent les callas à l’occasion de mariages et d’autres célébrations ou hommages.
Introduite en 2005, l’émission de timbres annuelle consacrée aux fleurs connaît toujours un grand succès et les vignettes sont souvent utilisées pour les mariages, notamment sur les faire-part. Les deux timbres de cette année ont été conçus par Paprika, alors que les illustrations sont signées Fanny Roy.
Les timbres se vendent en carnet de 10, 5 de chacun des 2 motifs, et en rouleau pratique de 50, soit 25 de chaque motif. Les collectionneurs peuvent se procurer un bloc-feuillet, ainsi que des bandes de 4 et de 10 timbres de rouleau. Le pli Premier Jour officiel mixte est oblitéré à Brampton, en Ontario (connue comme la «Ville des fleurs» du Canada).
Le timbre et les articles de collection sont en vente sur postescanada.ca et dans les comptoirs postaux partout au pays.
Pour plus de renseignements sur le calla et sa culture, lisez À chaque mois sa plante, juin 2020: le calla.
Article tiré d’un communiqué de presse de Postes Canada.
Merci pour l’info, M. Hodgson. De toute beauté ces calas!
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Le calla blanc était la photo sur mes demandes de présence et remerciement de mon mariage. Cela va faire 35 ans que nous sommes mariés.
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Encore des souvenirs de jeunesse ! Dans l’entreprise où je travaillais, il y avait un grand bassin alimenté par une source et planté de ce nous appelions des arums, ou calas blancs. En été, toutes les fins de semaine, ou à la demande, la patronne prenait ses cuissardes et allait cueillir de superbes brassées commandées par les fleuristes de la ville.
Il m’est arrivé à moi aussi de descendre dans le bassin, mais pieds nus, et l’eau était froide : parfois gros rhumes à la clef !