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Les plantes de Noël autour du globe

Par Larry Hodgson

La plante de Noël la plus populaire en Amérique du Nord est le poinsettia (Euphorbia pulcherrima): les magasins en regorgent à cette saison! Mais d’autres plantes aussi sont populaires: le cactus de Noël (Schlumbergera spp.), le kalanchoé de Noël (Kalanchoe blossfeldiana), l’amaryllis (Hippeastrum spp.), le piment de Noël (Capsicum annuum), le cerisier de Jérusalem (Solanum pseudocapsicum), la fougère givrée (Selaginella martensii ‘Frosty’), le sapin de Norfolk (Araucaria heterophylla) et, bien sûr, le sapin de Noël (Abies balsamea et autres). Depuis quelques années, le thé des bois, aussi appelé gaulthérie couchée (Gaultheria procumbens), s’est ajouté à la liste.

Mais les plantes de Noël diffèrent autour du monde. Jetons un coup d’œil sur ce qu’il se passe ailleurs.

Nouvelle-Angleterre

Polystic faux-acrostic
Polystichum acrostichoides. Source: Krzysztof Ziarnek, Kenraiz

En plus des plantes précitées, j’ajouterais à la liste des plantes de Noël le polystic faux-acrostic (Polystichum acrostichoides), qu’on appelle aux États-Unis «Christmas fern» (fougère de Noël), car ses frondes sont persistantes et peuvent servir dans la fabrication de guirlandes et de couronnes. La même fougère pousse aussi au Québec, mais nous ne semblons pas l’utiliser comme décoration de Noël.

houx verticillé (
Ilex verticillata Berry Poppins®. Source: Proven Winners.

Les branches de houx verticillé (Ilex verticillata), à feuilles caduques, donc sans feuilles à Noël mais chargées de baies rouges, sont fort appréciées dans les arrangements de Noël dans cette région. Encore une fois, cette plante pousse également chez nous et les branches sont parfois vendues dans les boutiques des fleuristes, mais elles ne semblent pas spécialement associées au temps des Fêtes au Québec.

Europe

En général, les plantes présentées dans le premier paragraphe (poinsettia, cactus de Noël, kalanchoé de Noël, etc.) sont populaires en Europe aussi, bien que le poinsettia, qu’on appelle étoile de Noël en France, ne domine pas le paysage à Noël comme il le fait de l’autre côté de l’Atlantique. Mais il y a d’autres plantes associées avec Noël (et le jour de l’An) qui sont plus propres à l’Europe.

houx avec baies rouges
Ilex aquifolium. Source: AnemoneProjectors, Wikimedia Commons

Par exemple, le houx (Ilex aquifolium), un symbole de Noël très important, est un arbuste ou même un grand arbre aux feuilles persistantes dentées et aux fruits rouges qu’on cultive dans bien des jardins de l’Ancien Monde.

Nous le connaissons au Québec, mais surtout sous la forme de cartes de Noël et de guirlandes de plastique, car les houx à feuillage persistant sont rarement assez rustiques pour notre climat et ceux qui le sont sont de petits arbustes frileux généralement emballés de géotextile à Noël et donc inaccessibles.

En Europe, par contre, les branches de houx sont utilisées abondamment à Noël. On les fixe aux portes et aux fenêtres des maisons. Aujourd’hui, on prétend que c’est en guise d’invitation, mais en fait, cette tradition relève d’une vieille croyance selon laquelle ces branches empêchaient les mauvais esprits d’entrer.

Gerbe de gui suspendue.
Gerbe de gui. Photo: Arybickii, depositphotos

La tradition d’utiliser du gui (Viscum album) — avec ses petits fruits ronds blancs translucides — comme décoration du jour de l’An est encore très répandue sur le Vieux Continent et date d’ailleurs de l’époque des druides, mais peine à survivre en Amérique. C’est que le gui, une plante parasite qui vit aux dépens de son arbre hôte, ne pousse pas dans le nord-est du continent nord-américain, et qu’on ne peut même plus obtenir de branches de gui fraîches. Il y a quand même des guis nord-américains similaires, notamment dans le genre Phoradendron, qui sont présents dans le sud et l’ouest de l’Amérique du Nord, mais la tradition de s’embrasser sous le gui se perd néanmoins en Amérique alors qu’elle est plus tenace en Europe.

Couronne d’Hedera helix. 
Couronne d’Hedera helix. Source: bcinvasives.ca

Le lierre européen ou lierre anglais (Hedera helix) est la guirlande traditionnelle des Fêtes en Europe. On en décore copieusement les maisons à Noël… et pourquoi pas, puisque cette grimpante à feuillage persistant pousse abondamment partout! Cette tradition ne semble jamais s’être établie en Amérique du Nord, sans doute parce que le lierre n’y est pas indigène et est d’ailleurs considéré très envahissant et donc déconseillé dans bien des régions du continent. On l’y trouve surtout utilisé comme plante d’intérieur, mais rarement comme décoration de Noël.

Rose de Noël à fleurs blanches
Rose de Noël (Helleborus niger). Source: 4028mdk09, Wikimedia Commons

La rose de Noël (Helleborus niger), qui n’est pas du tout un rosier (Rosa sp.), mais plutôt une plante vivace, est la plante de Noël dans le sud-est de l’Europe, là où l’Église orthodoxe domine. Leur Noël a lieu au milieu de janvier quand cette vivace est en fleurs: c’est la première fleur de l’année, d’ailleurs. On l’utilise surtout en plate-bande, mais il s’en vend aussi des potées fleuries dans les jardineries. Ailleurs, cette plante fleurit trop tard pour être une plante de Noël: à Pâques ou même en mai au Québec!

En Europe, le «sapin de Noël» est souvent un épicéa (épinette) ou un pin, voire un genévrier ou un autre conifère, selon ce qui est disponible localement.

Bûche de Noël.
Bûche de Noël. Source: maeclair.net

Dans beaucoup de régions d’Europe, la tradition de la bûche de Noël demeure profondément ancrée. Les Québécois seront surpris d’apprendre qu’il s’agit d’une véritable bûche, une grosse, qu’on allume en soirée la veille de Noël et qui brûle pendant toute la nuit et jusqu’au soir de Noël le lendemain. Au Québec — on ne sait pas trop comment —, la bûche est devenue un… gâteau!

Dans les Balkans, on appelle la bûche de Noël «badnjak» (ou «budnik», selon la langue locale) et c’est toujours celle d’un chêne (Quercus), symbole de longévité. Ceux qui n’ont pas de foyer où brûler une bûche vont souvent décorer leur appartement avec des brindilles de chêne.

Grèce et Moyen-Orient

Couronne décorée de grenades
Couronne décorée de grenades (Punica granatum). Source: clubbotanic.com

La principale plante de Noël dans cette région est la grenade (Punica granatum), qui mûrit justement à cette saison. On en décore portes, foyers, tables, etc., autant avec le vrai fruit rouge qu’avec des grenades artificielles.

Fragon faux houx
Fragon faux houx (Ruscus aculeatus). Source: Dominicus Johannes Bergsma, Wikimedia Commons

D’autres plantes souvent utilisées dans les décorations sont le fragon faux houx (Ruscus aculeatus) et le buisson ardent (Pyracantha spp.), les deux au feuillage persistant vert et aux baies rouges. D’ailleurs, ces deux plantes sont utilisées de cette façon un peu partout dans le sud de l’Europe.

En Israël, on offre des branches d’olivier (Olea europaea) à Noël aux amis en symbole de paix.

Mexique

Poinsettias en vente au Mexique
Poinsettias en vente au Mexique dans un marché à Noël. Source: casita-colibri.blog

Le poinsettia (Euphorbia pulcherrima) est originaire du Mexique et est populaire dans ce pays, où on l’appelle «flor de Nochebuena» (fleur de la nuit sainte). On décore aussi avec le fragon faux houx et le buisson ardent, comme dans le sud de l’Europe, ainsi qu’avec des plantes locales qui sont attrayantes à Noël.

Punch de Noël mexicain
Punch de Noël mexicain avec des fruits de manzanita (Crataegus mexicana). Source: www.goya.com

La manzanita, aussi appelée tejocote ou manzanilla (Crataegus mexicana), une aubépine à gros fruits, est autre plante traditionnellement utilisée comme décoration de Noël dans bien des régions d’Amérique centrale. On enfile les fruits orange sur un fil comme guirlande et l’on s’en sert aussi pour produire le punch de Noël.

Montage de radis
Noche de Los Rábanos. Source: AlejandroLinaresGarcia, Wikimedia Commons

L’une des traditions les plus curieuses est cependant la Nuit des radis (Noche de Los Rábanos), fêtée dans la région d’Oaxaca, où l’on sculpte des radis et prépare des montages de radis pour le 23 décembre.

Amérique du Sud

De l’autre côté de l’Équateur, il y a une complication: les plantes fleurissent à la saison opposée à celle de l’hémisphère Nord, donc nos plantes de Noël fleurissent en général… six mois trop tard! Ainsi, le poinsettia est appelé «fleur de Pâques» (flor de pascua) dans bien des pays d’Amérique du Sud, car il fleurit à cette saison alors que notre cactus de Noël (Schlumbergera) est appelé «flor de Maio» (fleur de mai) dans son pays d’origine, le Brésil. En contrepartie, c’est notre cactus de Pâques (Hatiora gaertneri, anc. Rhipsalidopsis gaertneri) qui devient le «cactus de Navidad» (cactus de Noël) en Amérique du Sud. C’est littéralement le monde à l’envers!

Faux-poivrier
Faux-poivrier (Schinus terebinthifolius). Source:Javier Alejandro, flickr

À la place de «nos» fleurs de Noël, les Sud-Américains ont tendance à utiliser comme plantes des Fêtes des plantes indigènes qui fleurissent ou qui fructifient à la fin de décembre. Des branches de faux-poivrier (Schinus terebinthifolius et S. molle), connu dans le nord pour le poivre rose qu’il produit, sont par exemple utilisées pour décorer les églises et les maisons dans le temps des Fêtes, car elles sont remplies de petites baies rouges à cette saison.

Cattleya percivaliana
Orchidée de Noël vénézuélienne (Cattleya percivaliana), QuazDelaCruz,

Au Venezuela, c’est une orchidée qui annonce Noël: Cattleya perciviliana. Ailleurs en Amérique du Sud, c’est plutôt Angraecum sesquipedale, originaire de Madagascar, mais populaire dans plusieurs pays, qu’on appelle «orquídea de navidad» (orchidée de Noël) ou «estrella de Belén» (étoile de Bethléem) pour ses grosses fleurs étoilées blanches qui s’épanouissent à cette saison. Dans certaines régions d’Amérique du Sud, d’autres plantes à fleurs étoilées blanches qui fleurissent à la bonne saison portent le nom «estrella de Bélen», par exemple des bulbes comme Ornithogalum bellatum et Hymenocallis spp. et la vivace tropicale Hippobroma longiflora, anciennement Laurentia longiflora

Au Paraguay, on décore la maison et les crèches de «flores de coco», soit les longues inflorescences parfumées d’un palmier, le coyol (Acrocomia aculeata), une tradition préchrétienne qui vient du peuple guarani indigène.

Asie

En général, le concept de Noël est relativement récent sur ce continent et c’est surtout une fête commerciale d’inspiration américaine. Il n’y a pas de plantes vraiment traditionnelles associées avec cette célébration, du moins, pas de longue date. La plupart des plantes de Noël sont donc des introductions récentes, généralement les mêmes plantes de Noël qu’on voit en Amérique du Nord (poinsettia, cactus de Noël, etc.). On voit, par exemple, des sapins de Noël dans les centres commerciaux, rarement chez les gens, et habituellement ils sont artificiels.

Bambou céleste
Bambou céleste (Nandina domestica). Source: http://www.mailordertrees.co.uk

La population chrétienne au Japon est plus solidement établie que dans la plupart des pays asiatiques et a adopté la tradition du sapin de Noël, habituellement un véritable sapin ou un épicéa (épinette). Le bambou céleste, Nandina domestica, qui n’est pas un bambou du tout, mais un arbuste, décore les jardins à cette saison avec ses fruits écarlates et ses feuilles rouges. Le chrysanthème (Chrysanthemum morifolium), populaire en toute saison au Japon, l’est particulièrement à Noël aussi.

Pomme imprimée portant un souhait de paix
Pomme imprimée portant un souhait de paix. Source: gbtimes.com

En Chine, on donne souvent une pomme emballée de papier de couleur ou avec une image imprimée sur son épiderme la veille de Noël, car le mot mandarin pour «veille de Noël», soit «nuit de paix» (Ping’an Ye), ressemble au mot pomme (pínggu?).

Palmier de Noël
Palmier de Noël (Adonidia merrillii). Source: palmpedia.net

Dans les régions tropicales d’Asie, il y a le palmier de Noël (Adonidia merrillii), mieux connu sous son ancien nom, Veitchia merrillii, qui fait office de symbole de Noël. Avec son tronc trapu et ses frondes relativement courtes, il ressemble à un palmier royal nain… et il se décore de fruits rouges à Noël. Originaire des Philippines et de la Malaisie, ce palmier est maintenant cultivé un peu partout dans les tropiques, pas seulement en Asie.

Enfin, en Inde, le cyprès de Monterey doré (Cupressus macrocarpa ‘Goldcrest’) commence à se populariser comme sapin de Noël, mais autrement, cette fête est peu célébrée dans ce pays.

Afrique

Les traditions des plantes de Noël sont davantage établies dans le sud de l’Afrique que dans le centre et le nord, apportées dans cette région par les Européens qui s’y sont établis (notamment les Néerlandais et les Anglais).

hydrangée à grandes feuilles
La « fleur de Noël » en Afrique du Sud est l’hydrangée à grandes feuilles (Hydrangea macrophylla). Source: pxhere

Encore, les saisons étant inversées, leur choix de plantes de Noël est fort différent de celui des Européens et des Nord-Américains. Notamment, l’hydrangée à grandes feuilles ou hortensia (Hydrangea macrophylla), bien connu dans l’hémisphère Nord pour sa floraison estivale, s’y appelle «Christmas flower» (fleur de Noël) et est probablement la plante de Noël la plus populaire! Par contre, on y trouvera quand même aussi des potées de poinsettias, les pépiniéristes locaux ayant réussi à les faire fleurir pour Noël en couvrant les serres de production de toiles noires à partir de 18 h pour assurer les jours courts nécessaires à l’initiation de leur floraison.

Sandersonia aurantiaca
Christmas bells (Sandersonia aurantiaca), une plante à bulbe. Source: www.alanjolliffe.com

Différentes plantes indigènes servent aussi de fleurs de Noël, notamment le «Christmas bush» (Pavetta spp.), les «Christmas bells» (Sandersonia aurantiaca) et le «Christmas berry» (Chironia baccifera) et aussi plusieurs plantes australiennes, car le climat des deux régions est similaire (lisez plus loin pour quelques exemples). Les Africains fêtent aussi Noël avec beaucoup de plantes qui sont pour nous des fleurs estivales, comme les marguerites, les roses et les zinnias.

Le sapin de Noël est bien populaire en Afrique du Sud, mais on utilise plutôt à cette fin des conifères adaptés aux conditions locales, comme le cyprès (Cupressus spp., notamment C. macrocarpa), le cryptoméria du Japon (Cryptomeria japonica) et divers pins (Pinus spp.).

Australie

Sapin de Norfolk
Sapin de Norfolk (Araucaria heterophylla). Source: AlfredSin, flickr

En Australie, le «sapin» de Noël traditionnel est le sapin de Norfolk (Araucaria heterophylla). Si, dans l’hémisphère Nord, on l’utilise surtout comme plante d’intérieur et qu’il y dépasse rarement 1,5 m de hauteur, dans son Australie natale, il peut éventuellement atteindre jusqu’à 65 m de hauteur, soit l’équivalent de 20 étages! On utilise aussi d’autres conifères venant d’autres parties du monde comme arbres de Noël, notamment différents pins.

Australian Christmas tree
Australian Christmas tree (Nuytsia floribunda). Source: JarrahTree, Wikimedia Commons

Et les Australiens ont leur propre «Australian Christmas tree» (arbre de Noël australien), Nuytsia floribunda, mais il ne s’agit pas d’un conifère, mais plutôt d’un feuillu. D’ailleurs, c’est un arbre parasite (ou plutôt hémiparasite, puisqu’il fait de la photosynthèse) qui soutire la majeure partie de son eau et de ses minéraux des plantes avoisinantes! Il produit des épis mousseux de fleurs orange dans le temps des Fêtes.

Ceratopetalum gummiferum avec fleurs et bractées blanches et roses.
L’un des arbustes de Noël australiens (Ceratopetalum gummiferum). Source: gdaymateowyagoin, flickr

Aussi, chaque État australien semble avoir son propre «Christmas bush» (arbuste de Noël), toujours un arbuste indigène qui produit des masses de fleurs ou de fruits colorés à la bonne saison, dont Correa spp., Chromolaena odorataCeratopetalum gummiferum et Prosanthera lasianthos. Et plusieurs bulbes qui fleurissent à Noël sont populaires, notamment divers Blandfordia, qui portent le nom de «Christmas bells». Et l’Australie a aussi sa propre orchidée de Noël: Calanthe triplicata, une espèce indigène.

Nouvelle-Zélande 

Meterosideros excelsa
Le New Zealand Christmas tree (Meterosideros excelsa). Source: Ed323, Wikimedia Commons

Parlez d’arbre de Noël à un Néozélandais et il pensera non pas à un conifère, mais au Meterosideros excelsa, un arbre feuillu au port arrondi, qui se couvre de fleurs plumeuses rouges à Noël. On l’appelle «New Zealand Christmas Tree» ou «p?hutukawa». Et l’alstrœmère perroquet (Alstroemeria psittacina), un bulbe introduit qui produit des fleurs tubulaires rouges à pointe verte, est couramment cultivé sous le nom de «New Zealand Christmas bells» (cloches de Noël néozélandaises).

Océanie

Flamboyant
Flamboyant (Delonix regia). Averette, Wikimedia Commons

L’arbre le plus emblématique de Noël de la Polynésie est sans doute le flamboyant (Delonix regia), appelé «Christmas tree» à Fiji, avec ses fleurs rouges saisissantes sur un feuillage plumeux. Originaire du Madgascar, mais abondamment planté dans les îles, il est plutôt un annonciateur de Noël, fleurissant juste avant la saison de Noël. 

Et les boules de Noël ne sont pas dans les sapins en Nouvelle-Calédonie, mais au sol, sous la forme d’une plante à bulbe d’origine africaine aux ombelles rouges, Scadoxus multiflorus, qui porte le nom de «boules de Noël».


Donc, où que vous voyagiez à travers le monde, il y a toujours des fleurs et des plantes associées à Noël!

Adapté d’un billet originalement publié le 24 décembre 2017.

Étiquettes + Plantes de Noël, Plantes de Noël à travers le monde, Plantes de Noël de différentes pays


commentaire sur "Les plantes de Noël autour du globe"

  1. Denise B. , Québec, QC

    Quel voyage magnifique pour Noël. Bon Temps des Fêtes cher Mentor. Prenez bien soin de vous.

  2. J’ai agrandi mes connaissances et fait un merveilleux voyage grâce à vous en ce 25 décembre, mille mercis

  3. Merci pour ce voyage !
    En France on vend aussi énormément de bulbes forcés de jacinthes pour qu’elles fleurissent à Noël.
    Chez moi pas de Noël sans jacinthes !
    Joyeux Noël jardinier paresseux !

  4. Marie-reine M.R.T Turcotte

    Merci de partager vos connaissances.
    Que ce temps des fêtes soit pour vous et les vôtres
    rempli d’amour et de joies.
    Marie Morissette

  5. Je suis haïtienne. La première fois que j’ai vu un flamboyant en Haïti je fût éblouie devant cet arbre je suis restée figée pendant un long moment. Merci pour ce beau voyage! Joyeux Noël!

  6. Quel beau cadeau de Noël ce matin parmi mes courriels. J’adore vous lire monsieur Hodgson. Merci d’être si généreux de vos connaissances. Je vous souhaite un Noël heureux!

  7. Merci pour vos chroniques quotidiennes tout au long de l’année. Je vous souhaite un très beau Noël blanc, à Québec vous avez en masse de neige, que la paix, joie et santé soit avec vous ??????????

  8. Vos articles sont toujours aussi intéressantes à lire. Merci pour partager vos connaissances. Joyeux Noël à vous et votre famille ?

  9. Quel talent de pédagogue ! ?
    Très intéressant cet article…
    Tout comme plusieurs je vous retrouve chaque jour sur mon cellulaire ?
    Merci Larry pour ce partage de connaissance et joyeuses fêtes ?

  10. Joyeux Noël! J’ai justement admiré des branches de houx verticillé au Jardin botanique hier après-midi. La vue des ces baies rouges sur des branches dénudées se détachant sur la neige était féérique. Merci pour ce magnifique voyage.

  11. très intéressant et magnifique à voir

  12. Joyeux Noël! J’ai justement admiré des branches de houx verticillé au Jardin botanique hier après-midi. La vue de baies rouges sur les branches dénudées se détachant sur la neige était féérique.

  13. Bon Noël ! Pour ma part j’ai reçu Le grand livre du jardinage 🙂 Ça sera très intéressant ! Quel bonheur.

  14. Merci pour cet article très intéressant. Joyeux Noël à vous cher M. Larry.

  15. Merci pour ce tour du monde en fleurs de Noël! Je l’apprécie d’autant plus que cela me rappelle notre dernier voyage, en décembre 2019, en Nouvelle-Zélande, où les pohutukawas, ces arbres splendides surtout de l’Ile du Nord, m’avaient éblouis. Quand leurs fleurs éclosent elles attirent alors plusieurs oiseaux, dont les magnifiques tuis, ce qui en rajoute au plaisir des yeux.
    Joyeux Noël et merci pour votre blogue que j’ai découvert y a quelques semaines. Je le lis tous les matins. Un rayon de soleil dans la grisaille des mauvaises nouvelles qui nous assaillent par les temps qui courent!

  16. “Au Québec — on ne sait pas trop comment —, la bûche est devenue un… gâteau !”

    En France également, car dans les appartements rares sont les cheminées, et les pâtissiers s’ingénient à imaginer des gâteaux allongés qui n’ont plus de bûche que le nom.
    On trouve peut être encore, et c’est devenu rare, pas du tout “tendance” d’anciens modèles de bûches, dont la garniture imite de l’écorce, parfois avec un nœud en pâtisserie, elles sont ornées de champignons en meringue et de petites figurines de lutins armés de haches et de scies.
    Dans les campagnes, on utilisait une bûche d’arbre fruitier(noyer, cerisier etc.), soigneusement mise au sec. Elle était allumée avant le départ pour la messe de minuit et devait brûler au moins toute la nuit. Dans certaines régions, on récupérait ensuite, coutume païenne, des tisons que l’on gardait précieusement et qui auraient eu la vertu de protéger de l’orage.

    J’ai bien aimé les “rabanos “mexicains, variété connue dans nos contrées sous le nom de radis de Chine.

    Grand merci pour ce beau tour du monde botanique de Noël.

  17. Un très beau Noël à vous et votre famille. Chaque jour m’apporte le bonheur de vous lire. Un merci très chaleureux.

  18. Joyeux Noël Monsieur Hodgson et merci de ce partage qui nous permet de voyager malgré la pandémie. Et maintenant , je vais aller lire tranquillement le tome 2 des Coups de coeur du jardinier paresseux , trouvé ce matin sous le sapin. Je suis comblée.

  19. Merci pour le petit voyage en ce lendemain de Noël M. Hodgson,

  20. Oh que ce voyage à travers le monde fut intéressant et éducatif ! Quel beau cadeau de Noël vous nous avez fait, monsieur Hodgson ! J’ai tellement appris. C’est fantastique.
    À la mi-décembre, ma nouvelle fleuriste m’a informée qu’elle n’achetait pas de houx carcomme il ne pousse pas chez nous, il fallait le faire venir en avion. Sa préoccupation pour l’environnement m’a beaucoup plu. Elle m’a alors vendu des branches hypericum, seule plante québécoise selon elle pour remplacer le houx. Je vais de ce pas lui écrire et lui faire suivre votre page. Je veux lui demander de nous offrir, en décembre 2022, des branches de houx verticillé (Ilex verticillata): elles sont magnifiques, beaucoup plus belles que l’hypericum dans les baies sont rapidement passées d’un rouge-orangé au noir. Un immense merci, monsieur Hodgson. Bonne santé et longue vie à votre blogue !

  21. Merci beaucoup pour ce beau voyage autour du monde et pour toutes les informations pour les «Noël» d’ailleurs. Je travaille en CPE et j’ai des enfants et/ou des parents et plusieurs collègues qui viennent de plusieurs pays et je me servirai sûrement de quelques photos pour leur montrer les plantes de d’autres Noël autour du monde. Je suis contente et reconnaissante d’avoir vu et lu cet article vraiment génial avec ces photos époustouflantes. Merci encore.

  22. Il est vrai que l’hedera helix est très envahissant, à Victoria en Colombie Britannique on arrache cette plante sur de longues distances car elle nuit à la reproduction des oiseaux…

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