Chardon écossais (Onopordum acanthus). Photo: naturespot.org.uk
Dans le pays où l’orchidée abonde,
on s’émerveille devant le chardon.
Larry Hodgson
Tiré du livre Pensées pour profiter pleinement du jardinage, 1996
Les artichauts ça compte? ?
Absolument! ?
Bien vrai
On veut toujours ce que l’on a pas ……
?
Tellement vraie
?
On s’habitue à tout, même à beauté.
?
Je suis désolée. Je voulais dire : On s’habitue à tout, même à la beauté.
La beauté se trouve partout, même où on s’y attend le moins.
Si vrai!
je constate une nouvelle interface de votre site. épurée et lumineuse. j’aime beaucoup. je regretterai la photo de vous faisant la sieste ! félicitation et bonne continuation
Je vais voir si on ne pas pas la mettre quelque part! ?
Bonne idée!
Admirer la beauté presque insolente et « hautement civilisée » d’un Phalaenopsis en pleine floraison n’empêche pas de s’émouvoir de la beauté à la fois épineuse, sauvage et lumineuse d’un chardon écossais.
?
Bien dit, chère Juliette
J’ai votre petit livre ‘ Pensées pour profiter pleinement du jardinage ‘, il m’a beaucoup inspiré et encore aujourd’hui. Ça fait changement des livres techniques. Parfait pour rêvasser et créer. Merci !
Il est si rare de nos jardins. Peut-être un jour je le ferais republier.
Tout à fait d’accord, le hic est que si l’on a des animaux à poils longs, on les apprécient un peu moins à la fin de la saison…??
Oui quand il faut en couper et qu’on ne porte par d’armure de la tête aux pieds!
Dans le pays où les rudebeckies abondent, on s’émerveille devant le pissenlit
Trés beau!